PDG : Mon nouveau patron
es, leurs paroles, les regards échangés, criaient des choses qu'ils n'avaient jamais osé se dire. Lorsqu'il lui effleura la main pour lui passer le verre de vin,
s qu'on a des différends, et je respecte ton indépendance, mais tout
it vaciller. Elle plongea son regard dans le sien, cherchant à y lire quelque chose, n'importe
esoin de ça, dit-elle d'une v
. Elle se haussait de ses épaules et détourna le regard. E
l'air était devenue palpable, presque électrique. Il hésita, comme s'
it, son téléphone vibra sur la table. Il soupi
ne voix distraite
uer. Son regard s'éloigna et se perdit dans le vide, cherchant quelque chose pour reprendre pied.
plus grave. Il pense qu'un dossier compromettant pourrait faire surface b
ains se crispèrent autour de son verre, ses pens
r ? Mais... Commen
n pense que quelqu'un cherche à saboter notre cause.
ls avaient construit jusque-là risquait de s'effondrer. Les enfants, leur avenir, tout semblait désormais suspendu à un
Que s'est-il passé ? demanda-t-el
. Ce n'est pas encore une certitude, mais ça pourrait changer la donne. Il
vait l'impression que le poids du passé et les menaces présentes devenaient insupportables. Elle aura
regard soudain plus dur. L'important, c'est que
ications flottant entre eux. Puis, comme si un fil invisi
lera. Ensemble,
inement. Un sentiment de malaise, de peur, la paralysait. Le dossier qu'il ve
êter. Élisa se tenait près de la fenêtre, les mains serrées contre ses bras croisés, observant les lumières de la ville s'étendre sous la brume qui envahissait
ls avaient travaillé sans relâche depuis des heures, discutant stratégie après stratégie, échangeant des documents et des informations avec la précision d'un mécanisme bien huilé. Mais au f
t la rapprocher d'une vérité qu'elle avait toujours voulu ignorer, un désir qu'elle croyait éteint mais qui,
ds. Mais il y avait cette lueur dans ses yeux, une lueur qui déstabilisa Élisa. Ce n'était pas la première fois qu'ils se regardaient ainsi,
anda-t-il d'une voix qui se voulait détachée, m
on souffle presque trop près d'elle. Son cœur battait un peu plus vite, mais elle s'efforça de ne rien laisser paraître. Elle ne pouvait pas, pa
ant sembla suspendu, comme si le temps attendait une décision. Élisa sentit une chaleur monter en elle, une c
ton brusque, plus pour rompre l'intimité qui s
L'odeur du café qu'elle prépara la calma un peu, mais ses pensées restaient emportées dans une tornade de conf
e sur la bataille qui se livrait autour de la garde de ses enfants. Mais à chaque instant passé en présence de Samuel, elle sentait le poids d
étection de la présence de son amie était un soulagement. Nina avait l'art de pénétr
? demanda Nina en esquissant un sourire en
café sur la tab
épondit-elle, un peu plus brusq
ses yeux d'un bleu perça
est-ce pas ? Ce n'est qu'une question de temps avant que tu ne soi
t pas besoin d'entendre cela. Elle n'avait pas besoin que son amie lui rappelle la vérité q
si naïve, Nina.
tant, l'air de plus
contrôle, il va revenir avec ses sourires, ses regards. Et toi, tu te feras avoir. Mais tu vois, je n