Fuir oú aimer
oiture avec mon corps. Avec la pression, il s'est ouvert et je suis
porte ! » Le temps qu'Antonella finisse de parl
iture. Elle avait l'air furieuse et soufflait comme un taureau. Alors qu'elle faisait un pas pour courir vers moi, une moto passa devant elle et klaxonna, la renversant presque. Dès que j'ai remarqué que les autres portes de la voiture s'ouvraient, je ne me suis pas c
upe sur un stand de fruits et en
de ne pas les entendre. Je n'ai pas arrêté de courir. En tournant le coin, j'ai goûté à la liberté et j'en ai
aigu, mais ce n'était pas suf
es par terre quand j'ai réalisé
aient couraient plus vite qu'elle. Je devais accélérer le rythme ou je me ferais prendre. À ce moment-là, j'ai réalisé que j'avais deux choix, courir co
et rapide, mais je n'ai pas laissé cela me ralentir. Je ne m'ar
es sur le mur. J'étais reconnaissante que la robe soit plus légère, mais je détestais de laisser une traînée de miettes derrière moi. Je me souviens avoir e
'église comme ça. J'ai traversé une avenue passante et les voitures ont dû manœuvrer pour m'éviter, mais l'une d'elles a failli me renverser. Au milieu de toute cette adrénalin
ouru sans arrêt, comme si ma vie
enoux. J'ai respiré et respiré encore, plusieurs fois. Dès
i entendu qu
ôté de la rue, elle faisait un geste de la main et m'encourageait à m'approcher d'elle. Je ne devais pas lui faire confiance, je ne connaissais rien ni
rue et je suis
anda-t-elle dès que je
je, ma voix rauque au milie