Le Mariage sous contrat avec le Milliardaire
ce moment n'était qu'un autre rendez-vous d'affaires parmi tant d'autres. Pourtant, Clara savait que ce qui se jouait ici n'était pas qu'une simple transaction. Elle s'était pr
sé des heures à réfléchir, à analyser chaque détail de l'offre. Mais maintenant que le moment était venu, un
d'une voix calme, mais ferme, comme un homme qui avai
ter encore une fois, d'essayer de comprendre ce qu'il attendait vraiment. Elle avait tout à perdre, mais elle savait aussi qu'elle ne pou
voix qu'elle voulait assurée, mais qu
plus profond d'elle. Puis, il prit une grande inspiration, avant d'entam
ement. Il s'agit uniquement d'une façade sociale. Tu deviendras mon épouse, mais ce n'est qu'un rôle à jouer. Une formalité. » Il marqua une pause, ses yeux se posant su
honnête. Il n'essayait pas de la séduire par des promesses. Il lui offrait une solution, aussi
ariage de façade. Rien d'autre ? » demanda-t
e n'est qu'un contrat. Une forme d'entente mutuelle, dans laquelle tu m'apportes ce que je recherche socialement
s que des formalités. Était-elle prête à accepter cela ? Était-elle prête à vendre son âme à cet hom
porte, leur patience ayant atteint ses limites. Elle avait tout donné à son entreprise, chaque he
e paraître choquant, mais dans ce monde, il y a des règles. Et parfois, il faut sav
sens, mais l'idée de se lier à un homme qu'elle ne connaissait pas, dans un mariage vide de tout sentiment, l'effrayait. Pourtant,
une année entière à faire semblant. Il y a des règles que je veux poser. Ce mariage, si je l'accepte, devra avoir une date de fin. » Elle marqua une paus
intérêt passant dans ses yeux. Il sembla pese
s d'accord. Un an, avec une clause de divorce. Mais il n'y a
'était un compromis, un pari. Mais l'idée de se donner une porte de sortie la rassurait, d'une certaine
r ses conditions. « Je veux une totale indépendance dans ma carrière. Pas de pression de ta part sur mes décisio
alysait chaque mot qu'elle venait de dire. Pui
reprise. Tu auras toute la liberté que tu désires. Le seul point où nous devrons être d'accord, c'est l'image q
rir son corps. C'était une décision qu'elle n'avait jamais imaginée prendre, mais dans cet instant précis, elle savait qu'el
était toujours là, immobile, attendant qu'elle fasse le dernier pas. Le souffle court, elle prit la
a sur le papier. Le