Piégé par l'amour
re des obligations familiales. Luca Moretti, assis dans le bureau austère de son père, regardait avec mépris l'accord posé devant lui. Sa mâ
tranchante. Vous voulez me vendre, me lie
roid au regard perça
efevre est essentielle. Leur entreprise vacille, mais avec notre soutien
t, faisant grincer la c
ia, tu le sais. Tu ne peux pas me forcer à aband
installa fut brisé par
réaliste, Luca. Julia n'a rien à offrir à cet
lles quelques mois auparavant. Une jeune femme discrète, presque effacée, vêtue d'une robe simple, les yeux baissés la plupart du temps. Elle n'
il finalement, les bras croisé
-ci avec un calme glaçant. Ton poste, t
trôlable. Mais derrière cette colère, une vague d'im
glé avec une précision chirurgicale : l'église, la réception, les invités t
en valeur sa silhouette fine. Ses cheveux étaient relevés en un chignon élégant, quelques mèches tombant délicatement sur son visage. Pou
it doucement, e
chérie, dit-elle avec
ers elle, esquissa
ci, m
une main su
n'est pas ce que
'est-ce pas ? la coupa Amélie
ant les plis de sa
suis
ebout près de l'autel, avait l'air d'un homme traîné de force à l'abattoir. Il portait un cost
a, malgré lui, ne put s'empêcher de la regarder. Elle avançait lentement, le visage calme, presque impa
a Julia, assise au premi
une intensité qu'elle ne comprenait pas. Mais Luca dét
leurs regards se croisèrent vraiment. Il y avait une lueur de défi dans les yeux d'Amé
r, dit-elle à l'offici
ur Luca. Chaque mot qu'il avait prononcé était une trahison de lui-même, une i
n jouait son rôle. Luca et Amélie restaient côte à côte, échangeant
arquer Luca lorsqu'ils furent
aussa le
, n'est-ce pas ? Et t
inte d'ironie qui ne passa pas inaperçue. L
s rendre ça facile pour toi, murmura-
, un sourire doux
soit facile. Mais ne sous-estime pas
timé Amélie, c'était certain. Et pour la première fois, il se demand