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L'éveil de la vengeance

Chapitre 4 02_B

Nombre de mots : 1238    |    Mis à jour : 29/01/2025

e moi avec Natacha. J'avais vraiment la tête dure pour assimiler tout ce que ma patronne là m'enseignait, si bien qu'après au lieu de me montrer comment coudre, elle me demandait de nettoyer

s de mama Véroniqu

, je te vois depuis deux

No

? La formatio

uturière haha, ma fille pardon on part au champ c'est ton domaine de

l que je me suis encore plus r

ronique a fait une grande fête pour célébrer la Réussite de sa fille. Il ne manqu

er mama Véronique, et Natacha y compris, j'avais

mauvaise pensée, je chassais ces

e tout le monde disait, Natacha est parti de la maison, elle est allé louer à Yaoundé dans une chambre d'étudiante, Marcel voyageait be

que, papa Paul n'était pas très regardant et encore moins bavard dans la maison. L'on parlait juste quand il avait besoin d'u

uand je me fît surprendre par papa Paul juste der

s pas que tu

yais que

t d'aller me changer. Alors que j'avais le dos tourné en direction de la ch

euses de ton genre, tu

re de force, j'étais au plus mal dans mon être, je savais que c'était pour me prendre ma virginité, ce que j'avais de plus précieux. Je me

e ton corps tu as compris ? Je sais que tu va

me, je lui ai dit, les

it pas de mal, je ferais tout ce que t

vas

mon intimité, je pleurais à chaudes larmes en suppliant Dieu de ne pa

t aussi fort que je pouvais, il m'a mis un habit dans la bouche comme pour m'étouffer. J'avais la bouche bâillo

iseaux, en coupant ce matelot, mon slip s'est également coupé, mon soutien était

ris que si je ne restais pas tranquille, il finirait bien par me tuer. Alors j'ai baissé les bras, et je me suis mis à pleurer en silence. Papa

uand il a fini, il m'a lâché, il est allé dans sa chambre,

, je t'ai rendu fem

5000fr sur moi, et après

et moi, je vais te gâter ma belle, tu verra que tu

ntimité, et j'avais également des douleurs musculaires, je me sentais sale. C'est avec beaucoup de pein

entement. J'ai appelé ma mère décédée de venir me chercher, j'ai tellement souh

moi dans les menaces. J'avais beau pleurer et le supplier de me laisser mais rien ne l'empêchait de me violenter de la sorte. C'était

e se doute de quelque chose, jusqu'au jour où j'étais couché dans la chambre

ursaut avec les cris de

toi, vite !!!! Qu'est

que j'ai vu mama Véronique d

ant que je ne p

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