Un amour inattendu
lle n'était pas sûre de comprendre ce qu'il voulait vraiment. Était-ce une simple pro
r d'avis, vous perdez votre temps »
son regard ne quittait pas le sien. « Très bien. Je respecte ton choix.
la regardait la troublait profondément, comme s'il voyait à travers ses défenses, ses failles. Cel
silence, « vous êtes bien plus manipula
rit par surprise. « Manipulateur ? Peut-être. Mais t
t la tête. « Ce n'est pas de l'o
dit-il, son ton redevenu sérieux. «
s'échauffer légèrement. « Vous devriez vr
t mal à l'aise ? » demanda-t-il
« Parce que ça ne mène à rien. Et parce que je su
, un sourire amusé sur les lèvres. « Tr
e sentir le poids de son regard sur elle. Malcolm semblait l'observer avec une attention p
i facilement.Les éclats de lumière des immenses lustres en cristal illuminaient la salle de bal avec une élégance presque irréelle. Clara ajusta discrètement la fine bretelle de sa robe noire, qui épousait sa silhouette avec une simplicité sophistiquée. Elle n'était pas particulièrement fri
rsations interminables sur les fluctuations du marché et les projets de construction pharaoniques. Elle e
a rêverie. « Clara, ça va
. Je réfléchissais juste à ce que Madame Dupon
Tu es vraiment dévouée
lier. Elle n'aurait jamais admis qu'elle scannait inconsciemment la salle, cherchant une silhouette qu'
Malcolm Gram, vêtu d'un costume sombre qui semblait taillé sur lui comme une seconde peau, se tenait près du bar. Il discuta
'il avait senti sa présence aussi, Malcolm leva le regard et leurs yeux
da Julien, remarquant so
e son champagne, espérant que la fraîcheur de la boiss
qu'elle tentait de s'intégrer à une conversation sur les investisseme
lar
our de sa coupe. Elle tourna lentement la t
épondit-elle,
ourire provocant jouant sur ses lèv
, lançant un regard méfiant à Malcolm. « C
ulien, voici Malcolm Gram. Malcol
Julien, son sourire toujou
ais son expression rest
temps. « Clara, puis-je
ant qu'elle ne puisse formuler une excuse,
ésolé à Julien. « Je r
t un peu plus loin, vers une zone moins animée de la salle. Ell
faites ici ? » dema
uoi pas moi ? » répondi
x dire. Vous n'avez rien à voir avec l'immobilier,
t. « Disons que je suis ici pour affaires. Mais maintenant que
aiment arrêter de jouer à ce petit jeu avec
ra-t-il, s'approchant légèrement. « Tu es bien
avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce so
e, incrédule. « Ce
uoi pas ? Peur de ce que
lle ne puisse se retenir, elle accepta. « Très bien. U
l'entraînant sur la piste de danse. La musique était lente, un morceau de
une fermeté qui lui donna le vertige. Ils dansèrent en silence pendant q
ou, n'est-ce pas ? » murmur
son cœur battant à to
nda-t-il, un sourire ta
blante qu'elle ne l'aurait voulu. « Ces jeux,
rieux. « Peut-être que tu n'en veux pas, Clara. Mais tu ne
pant le contact. « C'est fini. J
danse, se frayant un chemin à travers la foule. Une fois à l'extérieur, elle i
a. Les rêves avaient commencé doucement, presque furtivement. Une scène floue ici, une silhouette familière là. Mais cette nuit-là, tout fut plus clair, plus vif. Clara se voyait marcher dans une maison qu'elle ne reconnaissait pas, une deme
ésistible, le même qui résonnait toujours dans s
eur perlant sur son front. Son regard vola immédiatement vers l'horloge de ch
s le droit de penser à lui, encore moins de rêver de lui. C'était absurde, déplacé.
olm d'une manière ou d'une autre. Son irritation grandissait à mesure que la journée avançait. Et comme pour confirmer que
s la curiosité – ou peut-être un m
elle d'un ton professionn
m était douce, presque décon
sèchement. « En quoi puis-je
e vertébrale. « Toujours aussi formelle. J'ai besoin de tes services po
hui ? C'est un peu précipité. Je sui
lara. Je suis sûr que tu p
lution raisonnable, mais une part d'elle ne voulait pas l
elle finalement. « Env
*