Ma fiancée PDG
ne aura presque magnétique. Son visage était sculptural, ses traits marqués par une froideur qui contrastait avec l'élégance de son sourire cont
nt il dominait la pièce sans un mot, qui m'intriguait autant qu'il me dérangeait. Il n'avait m
.. intimidant
tête avec un s
u ne l'as pas
regards se croisèrent brièvement. Mon souffle se bloqua. Ce n'était qu'un instant, mais ses yeux, d'un gris acier perçant, sem
nna. Je crois qu
épliquai-je, bien que mon c
centre de chaque conversation importante, chaque décision prise dans cette salle. Pourtant,
paraître trop fascinée, une voix gr
ons
ait devant moi, une main dans la poche de son pantalon, l'autre tenant
s-je, ma voix légè
rètement, me laissa
plaisir de vous rencontrer, di
urmurai-je en tendan
vement, son regard ne
Mademoisel
une maîtrise parfaite, comme s'il pesait chaque mot.
rs de votre élément, remarqua-t-
èrement, cher
st une belle soirée.
la tête, comme s'il
ci avec Anna,
e en jetant un coup d'œil vers Anna, qui d
alent pour attirer des pe
s'il essayait de me lire. Avant que je ne puisse répondre, il
? demanda Anna en revenant
e, répondis-je,
rève interaction. Pourquoi avait-il pris la peine de me parler ? Et pou
es évoluaient gracieusement, une main se posa doucement sur mon bras. Je me
oine, puis-je vous
des yeux,
bien que ma voix trahissa
de la ville. L'air frais me fit frissonner légèrement, mais je m
l après un moment de silence,
il, incertaine de c
ffér
l'attention. Et pourtant, on ne p
était un compliment ou
sur moi, mais je ne sais presque r
moi, un sourire énigm
res. Et, parfois, un homme qu
la fois sérieu
près une pause. Quelque chose qui pour
? répétai-je
nte, capable de navig
, mais une chose était sûre : cette conversation venait
'hésitai un instant, mes mains moites hésitant à se saisir de l'appareil. Le nom d'Adrien Morel s'affichait sur l'écran. Cela fai
canapé avec une tasse de thé fuma
je le fasse pour toi ? plaisanta-t-
e en soupirant avan
tant de garder un ton professionnel
a voix grave et posée d'Adrien. J'
ble m'intimidait aut
En quoi puis-
omme s'il pesait soigneuseme
z-vous, disons... professionnel. Dem
ant un coup d'œil à Anna, qu
el ? répétai-
ondit-il simplement. Est-ce que j
osité et d'appréhe
ai, finis-je par dir
seconde avant de me b
quoi ça ? Pourquoi
haussant les épaules. Mais je supp