son regard perçant et de ses paroles lourdes de sens. Les mots qu'il lui avait dits se repassaient sans cesse dans son esprit, comme une mélodie obsédante qui ne voulait pas la quitter. "Les

ressante. Le bruit de la pluie battant contre la fenêtre semblait amplifié par le silence qui régnait dans l'appartement. Ses yeux se posèrent sur le livre. Le titre – O

r la table basse. Un message. Elle hésita un instant avant de le l

oyez pas en retard. Il est t

mment savait-il qu'elle allait venir ? Cela faisait moins de 24 heures qu'elle l'avait rencontré. Ce n'était

uvait pas refuser. Ce n'était pas seulement une invitation à une galerie d'art. C'était une invita

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ormes mouvantes qui semblaient presque vivantes. Élise n'avait pas peur, mais un léger frisson parcourait son dos à chaque coin de rue qu'elle franchissait.

diffusant une lueur chaleureuse qui contrastait avec le froid extérieur. La porte était entrouverte, comme une invi

e plus déstabilisante que la précédente. Des peintures abstraites aux couleurs profondes, des portraits qui semblaient bouger sous ses ye

tre de l'ombre, un léger sourire sur ses lèvres. Son regard était plus intense que jamais, co

à tout rompre. "Je... je ne savais pas vraiment à quoi m'a

possèdent." Il s'arrêta devant un tableau particulièrement frappant, une grande toile noire avec des éclats de lumière blanche qui semblaient sortir du centre.

trange sensation d'inquiétude la saisit, mais elle ne pouvait

ent jamais, Élise. Elles attendent, patientes, dans chaque recoin de notre existence. Mais parfois, nous devons

it d'elle ? Qu'elle fasse face à ses propres démons ? Mais quels démons ? Elle ne savait pas encore, mais il y avait quelque chose d'irrésistib

voix plus douce, mais toujours pleine de cette même autorité. "Il ne s'agit pas simplement de c

s quoi faire de ses pensées. Tout semblait trop... lourd. Pourtant, une partie d'elle savait qu'elle ne pourra

nctes semblaient se fondre et se défaire, comme si le temps lui-même se dérobait sous leurs pieds. Le nom de l'artiste était inscrit en bas à droite, un

demanda Damien, s'étant approché sans qu'elle ne le remarque. "

ant une réponse. Comment savait-il cela ? Il n'avait

ement ça. Je me sens... perdue. Égarée, com

Et parfois, il faut s'aventurer dans l'obscurité pour comprendre qui nous sommes vraiment. Vous n

sa poitrine. Mais en même temps, il y avait quelque chose de réconfortant dans ses mots. Quelque chos

elle enfin, le regard fixé sur Damien,

de s'éloigner dans l'ombre de la galerie. "I

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