La princesse rejeté par l'Alpha
tait à un rythme effréné, martelant mes côtes comme s'il cherchait à s'échapper. Cassian, debout devant moi, était immobile, ses mus
suivie par des créatures à moitié sauvages, ou cette connexion inexpl
, répéta-t-il, le regar
geaient, elles prenaient forme. Et cette forme n'était rien de rassurant. Une meute surgit du couvert des arbres : des loups massifs, aux yeux injectés d
donna Cassian sans détour
gorge. Rester derrière qu
lâchai-je, un sourire mauvais déformant mes l
les. Un grondement sourd émana de sa poitrine. Le sol sembla
ier lou
orté résonnait dans mes os comme un tambour de guerre. Cassian se battait avec une maîtrise impressionnante, sa forc
ttentes. Je me mouvais avec une agilité féroce, mes coups atteignant des cibles avant même que mes pensées n'aient pu guider mes gestes. Mon poignard trancha l'air, se plantant dans la gorge d'un lou
t impo
brûlant dans mes veines. Mon regard croisa brièvement celui de Cassian. Il m'obs
un coup de griffes visant so
, tout en fendant l'air d'un mouvement
essus. Mon pied vola dans sa mâchoire, l'envoyant
le dangereuse dans le regard. Tu devrais essaye
e, la peur enfin visible dans ses yeux bestiaux. Cassian s'av
choué, murmura-t-il avec une
tif avant de tourner les talons e
ins tremblaient encore sous l'effet de l'adrénaline. Mais Cassian, lui, ne bougea pas.
u vraiment
rfs à vif. Je suis personne. Une mercenair
ore, réduisant l'
e. Tu as un pouvoir q
phétie ! explosai-je, le poing ser
mais sans violence. La chaleur de sa
Ce que je viens de voir ce soir... ce
aire voir
le souffle court, et pris
eur dans mes jambes devienne insupportable. Chaque ombre semblait murmurer mon n
L'endroit était délabré, mais il m'offrait un refuge temporaire. J'entrai sans un mot
les marches branlantes et verr
était tout ce dont j'avais besoin. Je me laissai tomber sur le mat
nterrompu par un
cœ
o
ir sur mon bras gauche. Je releva
que lum
ythme de mon cœur, une empreinte sem
la marque sur mon bras. Sa lueur était douce mais hypnotique, comme une braise vive qui ne voulait pas s'éteindre. Elle pulsait, suivant le rythme de mon cœur, une
une sensation de chaleur le long de ma colonne vertébrale, un feu étrange qui s'éveillait dans mes veines. Mon souffle devint court. Une panique glacée me
ang ? murmurai-je dans la so
nt de mon cœur, et ce frisson op
tourbillonnaient comme une tempête incontrôlable. La fille. Cette mercenaire insolente. Elle n'avait rien d'ordinaire. Ses gestes lo
second en commandement et fidèle ami, lev
ger les portes, fit-il remarq
la pièce. Je dois savoir. La prophétie de Maeva... Elle parle d'u
e se fermant légèrement. Il s'appuya contre le
urgence ? Tu n'as jamais p