Le sauvetage du cheik
ur ses pieds, poursuivant son discours. Pendant un moment, elle se demanda ce qu'il dirait. De quoi parlait cette conférence ? Calista n'en avait aucune idée. Son
mps pour eux de fixer une date pour le mariage. Mais chaque fois que quelqu'un évoquait l
lle, elle serait à nouveau une femme célibataire ! Elle ne se soumettrait pas à une vie entière de conversations ennuyeuses sur la politique
l était au programme ce
de savoir quels étaient ces problèmes, à part le besoin de ne pas s'ennuyer à mourir pendant les cinquante prochaines années. Mais elle avait trouvé quelque chose. Quelque chose d'horrible. Peut-être une maladie ? Oui ! Oui, une ma
uoi que ce soit d'autre. C'étaient des réalisations très nécessaires et merveilleuses. Mais avait-elle vraiment besoin d'être là ?
Après ce baiser qu'ils avaient partagé il y a plusieurs mois, il avait eu de grands espoirs pour leur mariage. Mais elle portait toujours cette attitude du « ne me touche pas
.. si jamais elle s'éclaircissait suffisamment pour les libérer du nœud serré dans lequel elle les enroulait à chaque fois qu'il la voyait. Il savai
ouvait voir, c'étaient les beaux yeux de chat et les lèvres douces et charnues qu'il imaginait embrasser... sauf qu'à chaque fois qu'il la regardait, elle semblait s'éloigner de lui, ces
qu'elle frissonnerait de dégoût ? Était-ce seulement lui qu'elle n'aimait pas ? Ou était-ce l'humanité toute entière ? Il s'était brièvement demandé si elle p
r sur la gestion de son pays et qu'il ne voulait pas la mettre dans une situation où elle se sentirait moins que... quoi que ce soit. Il se fichait
que rien, pas même un ouragan, ne puisse perturber son style. Et ses vêtements ? Ses tenues étaient l'incarnation d'une reine des glaces ! Ce tailleur ivoire qu'elle avait choisi de porter au
ais après cela, elle l'avait silencieusement averti qu'il n'y avait rien de passionné, ni même de chaleureux, chez elle. Chaque discussion qu'il avait proposée avait ét
fait de la plupart des problèmes politiques que leurs deux pays s'efforçaient de résoudre en ce moment. Mais il y avait plus dans la vie que la politique ! À quoi pensait-elle, à quoi ressentait-elle et à quoi rê
laisserait dire à la presse tout ce qu'elle voulait, à condition
ts lorsque Calista déplaça ses jambes vers la droit
ng du dossier de sa chaise, gardant une expression
Astir n'était pas seulement le frère de Calista. Il était aussi l'ami de Goran. En tant que dirigeants de pays voisins, ils