Le Compagnon de Seconde Chance
entre les mains, la chaleur apaisant légèrement les nerfs tendus. Depuis la conversation qu'elle avait eue avec Daniel, le garde du corps envoyé par Alexander, elle ne pouvait plus se débarrass
ans la pièce. Elle se leva d'un coup, lissant les plis de son pantalon, et attrapa le téléphone
e décrocher, mais un sentiment
le, essayant de dissimul
se, tendue. « Tu te souviens des rumeurs qui circulaient autour de ton père avant que tu
stomac se tordre. «
reprit, plus lentement, ses mots pesant lourdement dans l'air. « Ces rumeurs étaient vraies. Il y a
l'homme qu'elle avait toujours admiré, le titan de l'immobilier dont elle avait été la fille ch
emanda-t-elle, sa voix plus fai
plus grand qu'on ne le pense. Et il ne va pas disparaître si facilement. Il y a des gens qui vont chercher à récupérer
appant un rythme effrayant dans son cœur. Elle se sentait submerg
sais pas quoi
ala. Il y a des gens là-bas qui doivent savoir qu'on ne se laisse pas faire. On d
emparer d'elle. « Maman, je... » Elle se pinça les lèvres, cherchant les mots.
à, Natalie. Il y a des gens à qui tu dois parler.
n'avait pas le choix. Elle ne pouvait pas fuir encore une fois. Ce monde, sa fa
un symbole de richesse et de pouvoir. La foule était élégante, parée de robes de soirée et de costumes sombres, des sourires polis et des poignées de main glac
n'était pas elle que Natalie cherchait. Elle parcourut la pièce du regard, cherchant des visages familiers
urs rires s'entrelassant, mais leurs paroles trahissaient un sous-entendu. Un d'entre eux, un homme imposant en costume sombre, lui sembla particulièrement familier
de tous ceux qui avaient été liés à Charles Carter, était celui qui avait toujours sem
s, les traits marqués par le temps, un sourire que Natalie n'avait jamais oublié. Alexander Drake. Il se tenait là, dans un
lorsqu'elle entendit que
ui se passe. » La voix d'Alexander était basse, mesurée, presque menaçante. Il
it Hale, un sourire cruel au coin des
ra. Elle n'a p
t lourdes, comme si l'air lui-même avait pris du poids. *De quoi parlait-il ? Que lui réservait Al
reprendre son calme. Mais à peine quelques instants passèren
x que tu ne le crois. Il a manipulé ton père, et il c
de la nuque. Qui était derrière ce message ? Et pourquoi quelqu'un voulait-il la prévenir ? Ses mains tremblai
ait l'oiseau pris au piège. Mais qui était l