Mariage arrangé avec l'Alpha

nes Obscures. La forêt semblait l'envelopper, murmurer des avertissements à travers le bruissement des feuilles mortes sous ses pieds. Chaque pas qu'elle faisait

e qui n'avait aucune idée des dangers qui pesaient sur elle. Élia n'était pas venue ici pour les querelles des meutes ou pour les luttes de pouvoir ; elle était venue pour une prome

te, presque menaçante. Aucun mot ne fut échangé, mais l'atmosphère en disait long. Ils l'observaient avec des yeux perçants, évaluant ch

e règles inflexibles et de hiérarchie. Les meutes étaient comme des royaumes, et ce royaume en particulier était dirigé par un Alpha impitoyable : Kael Drax. Si Kael D

pièce sur un échiquier, déplacée sans pitié par des mains invisibles. Elle se laissa guider à travers l'enceinte, où les bâtiments en pierre noire se dressaient comme des s

, la porte s'ouvrit, révélant l'intérieur d'un grand hall, où l'odeur de cuir et de bois brûlé flottait dans l'air. C'était u

ne vague de chaleur la traverser, bien que le froid ambiant persistât. Ses yeux d'or étaient comme deux flammes dans la pénombre. Il ne semblait pas l'avoir reconnue imm

Sa voix était aussi sombre que la pièc

ux, décidée à ne pas se laisser intimider. «

bête prête à bondir. « Liora... Ma fiancée. » La façon dont il prononça le mot avait un ton étrange, comme s'il n'y avait pas

t-elle avec un calme qu'elle ne ressentait pas en

qu'il cherchait à résoudre. « Vous êtes très... calme pour une étrangè

e subtile, mais pleine de sous-entendus. Kael Drax ne se contentait jamais d

ière, maîtrisant son jeu. « Peut-être. Mais p

cieuse, n'est-ce pas ? » Il s'approcha d'elle, ses pas lourds résonnant contre le sol en pierre. « Je ne doute pas que vous ayez

place à l'erreur. Elle n'était pas encore prête à se dévoiler complètement, mais il

se dirigea vers une porte qui menait à un

ures, de regards chargés de mystère. Il n'était pas difficile de sentir la tension dans les airs. Liora, cette jeune f

es yeux étaient aussi pâles que son visage, et elle semblait frêle, presque translucide, comme si elle avait été étouffée par le

uce, presque timide. « Je... je suis heureuse de v

de la fragilité de la jeune femme. « Oui, Lior

t pas. Liora n'était pas simplement fragile ; elle était malade, épuisée par quelque chose de plus ancien, d

ttentivement son visage pâle. « Comme

er tremblement parcourut sa main. « Kael dit que tout ira bien

, une certitude grandissait. Liora ne disait pas toute la vérité. Il y avait des secrets ici, dans

er une réponse. Une réponse avant qu'il ne soit trop tard. Mais les ombres dans la pièce