Le monde d'après
ches seraient reporté au lendemain et ils profitèrent du foye
ant, la discussion
lqu'un avant tout ça
ivre avec une autre personne. J'étais p
ion mais j'avais aucune envie d'en assumer les conséquences. De devoir envisager l'avenir, de devoir m'occuper d'une famille, d'
ore en vie quand
erres se sont rapprochés, les immeubles ont commencé à s'écrouler et j'ai réussi à protéger ma mère mais mon père lui s'est retrouvé enseveli sous les décombres. On a fuit, hors de Paris, lentement, et une fois à la périphérique, quand on s'est arrêté qu
frère o
l est mort au bout de quelques j
éso
souviens pas. Je n'avais que deu
ins. J'espère qu'ils s'en sont sortie, au fond de moi, j'y crois encore mais ma grande sœur Julie a une fille, e
essayé d'aller
ut. Je voulais juste partir, être loin, loin de tout ce qu'il pouvait resté. J'ai laissé un mot, une piste que se
des personnes, ou des groupes de personnes qu
personnes se regroupant, pour reconstruire, tenter de rebâtir. J'en ai vu, je les ai même approché, mais je sais pas, je ne me suis pas
rêt à suivre un groupe, pas prêt à vivre en communauté. - - Puis j'ai vu le pire et j'
na, emmitouflée dans une couverture, son verre
cu, jusqu'à aujourd'hui. Malgré
ai mais à
si on ne se bat pas pour
ps semblait parfait, il distinguait la profondeur de son décolleté, la finesse de sa peau. Même son odeur sembla
d'espoir et que c'est aussi ça qui nous po
ndit elle en souriant
a brisa, chacun profita de la conversation, par moment plus légère, à d'autre plus sombre. Ils se livrèrent sans crainte d'être jugé et quand l'alcool finit par faire son
es yeux, elle sut qu'elle n'avait pas envie de la quitter. Un cocon protecteur, une présence rassurante. Cette idée la dérangea, une présence rass
rant laquelle elle se rappela toutes ces fois, après une étreinte passionnée, après une bref instant échangé, elle av
oujours que l'autre restait dangereux, elle s'écarta et fila loin
souvent et en réponse, elle frotta son visa
es sens, chaque frottement la poussa à plus, à se rappeler, à se souvenir d'autres mains sur son corps, de ces doigts pinçant ces tétons jusqu'à la faire gémir, de ces cuisses ferment et musclés se glissant contre les siennes, électrisant son clitoris alors qu'un membre chaud e
ue d'habitude et plus violemment, la lais
ressentait le besoin, elle ne s'en était jamais privé. Si elle ne se souvenait pas forcément de leurs noms, elle se rappelait
e glissa sur le sol en se demand
nt légèrement glissée sur son épaule, une serviette autour
ssonner, lui rappelant l'activité à
vivre avec quelqu'un. Je prendra
i tu te baladais nue, je me je
croire que tu es gay si je ne venais
homme. Je sais comment me satisfaire, comme tout les mecs je le sais depuis longtemps. Je suis désolé que ma façon de te regarder t'ai mis mal à l'aise mais je te promet que je ne te forcerai jamais à quoique ce soit. J'ai été surpris en te voyant so
dis, j'ai plu
un pantalon et l'enfila puis s'habilla rapidement
uis un moment et c'était sûrement pour cette rai
lla récolter les œufs, s'occuper de son pot
travailler pour ne pas penser, pour ne pas repenser
hant si il devait la réprimander d'avoir été si longue ou si il était heureux de la revoir. Aussitôt le cont
t que je t'ai manqué, lui dit elle
semblant de normalité. Elle fila dans la cuisine ou elle trouv
s trucs que j'ai trouvé pour ton projet. Je vais rester dans la chambre, ça sera plus facile pour nou
vie, en se croisant un minimum. Le soir venu, elle lui déposa de quoi se res
de sa chambre. Pauline s'approchait déjà des volets de la cuisine. Avec un