Mon contrat avec l'Alpha
pit
it son souffle, prêt à se déchirer. Elle se tenait là, figée, observant en silence. Les hurlements des loups résonnaient au loin, un chant primal, sauvage, envah
tout devenait plus tangible, plus réel. La bête intérieure s'éveillait, implacable et incontestée. Elle savait que Victor, l'Alpha, vivait ce mome
brute, cette puissance qui semblait s'échapper de l'ombre. Ses yeux se fixèrent sur la silhouette de Victor, debout dans la lumière pâle, le regard figé vers le ciel. Il était loin de l
à la gorge, comme une main invisible serrant trop fort ? Elle serra les poings, son corps secoué par une tension qu'elle ne comprenait pas. Elle savait qu'elle ne pouvait pas int
en même temps, pris dans un combat intérieur. Ses muscles se tendaient, ses mains tremblaient, son corps semblait se déchirer alors qu'il se battait contre son lou
lle ne pouvait plus rester là, à regarder sans rien faire. Elle se précipita vers lui, sans même réfléchir. Ses jambes
apper, la frappant comme un coup de vent glacé. Il tourna brusquement la
it un grondement brut, une menace contenue à
it le ventre était plus forte. « Je ne peux pas te laisser comme ça,
e un avertissement. « Tu n'as aucune idée de
pouvait presque sentir la lutte entre l'homme et la bête. Elle ferma les yeux un instant, essayant de chasser la sensation de douleur qui lu
s. Ses bras s'ouvrirent pour l'attraper, pour l'apaiser. Mais il se
ien à faire ici, Ellie. Tu n'as rie
rance dans ses yeux. Mais au fond d'elle, elle savait que cela n'avait rien
la nuit. Mais, au contraire, ses yeux se fermèrent un instant, et un murmure s'échappa de ses lèv
Elle le voyait se battre. La lutte en lui était plus féroce que tout ce qu'elle avait pu imaginer. Il n'ét
mains, un hurlement bestial, presque douloureux, qui résonna dans tout le manoir. Les m
uleur qu'elle ne pouvait expliquer. Mais au fond d'elle, une vérité grandissait, inébranlable et claire : elle était c
avec des yeux encore pleins de cette rage, mais aussi d'une fragilité qu'elle ne parvenait pas à comprendre. Elle était là, de
uque, comme s'il venait de sortir d'un rêve trouble. « Ton si
it provoqué cette faiblesse. Elle avait vu trop de choses qu'elle n'aura
a presque, se soumettant à cette pression énor
pas ? » Elle acquiesça sans un mot. Et alors, dans l'ombre de la pleine lune, entre l'homme et le loup,