Le secret de l'Alpha
PIT
nique, je me précipite dans la cabine la plus proche et ferme la porte, appuyant mon front contre le métal froid. Je tourne la tête pour poser mon oreille contre la porte, et je souris
ui-même. Ce qui aurait dû être un nez fin est maintenant légèrement tordu, probablement cassé à un moment donné. Il a un peu de barbe, ce qui n'ajoute qu'à son charme. Ses lèvres roses sont pincées
avant de relever les yeux vers ses yeux verts marbrés. C'est comme si mon corps avait été électrisé, e
aque mouvement, ses lèvres serrées tandis qu'il me regarde, debout là, me surplombant. Il y a une longue pause, nous nous observons simplement, sans pouvoir détourner le regard. C'est comme s'il y avait
fusion, je penche légèrement la tête comme s'il était un puzzle que je tente de résoudre. Les muscles de ses bras se tendent et se gonflent sous sa veste en cuir noire, une chemise noire également sous celle-ci qui colle à sa pe
se Aurora ! Je me gronde intérieurement, bien que mes pensées sales ne cessent de dévaler dans mon esprit. En levant de nouve
'est la première chose qu'il me dit de sa voix
cache d'un homme ivre. Je pense que les toilettes
trop fort, ce qui me pousse à lui faire signe
ant de pointer la porte du doigt comme pour dire, « À cause de ça, idiot ! » Il roule des yeux avant de s'avancer, plaçant ses deux mains sur ma taille et me soulevant pour me poser sur le co
a perte inévitable, tandis que ses pas se rapprochent de notre cabine. Je regarde son pouce qui frotte de petits cercles apaisants sur ma peau pour tenter de me calmer. Souriante à ce geste, je lève les yeux vers lui et scrute ses traits d'omb
Allez, sors, je sais que t'es là. » L'homme i