Les cœurs captifs
ignant le salon où un long canapé pouvant probablement accueillir cinq p
pose d'un lit moelleux et d'une serrure à clé sur la porte. Mes pieds me font mal, alors je me dirige vers le canapé, enlevant mes talons au passage, et je me laisse tomber sur des coussins moelleux. C'est étrange d'être ici dans son espace. Je vais vivre ici pendant les six
les yeux pour rencontrer le regard du chef du monde criminel russe - l'homme qui a promis de me tuer si je ne joue pas mon rôle dans son étrange plan - et cette nuée de pa
e vue d
me dirige vers le canapé. "Il serait préférable que tu ne te p
." Nina hoc
mainte
s apporte à manger puisque nous n'avons rien
it aller se coucher pour s'éloigner de moi dès notre arrivée, mais maintenant je suis curieux de savoir ce qu'elle a en tête. C'est un peu dérangeant, la façon dont elle agit est si décontractée, comme si toute cette situation é
, et je regarde les longues mèches noires tomber dans son dos une à une, comme une ca
femme de ménage va arriver ?" demande
seconde à
lors, com
son visage est l'incarnation du calme, mais je remarque que ses mains tremblent légèrement. Une réaction normale, enfin. Lorsqu
nter ?" Je pl
"O
st-ce que ça va te fa
genoux ? Je ne peux pas
fera pas mal
rieure, visiblement confuse quant à la marche à suivre. Je me penche, l'attrape par la taille et la soulève p
je demande en essaya
la femme de chambre nous surprenne
ça, n'est-ce pas ? Tu es j
nuque, je me penche et je dépose un baiser sur son cou fin. Avec mon autre main, je trouve la fente de
pe à la
'épaule de Nina, puis je reprend
ter..." La voix de Valentina s
fille se dépêche de laisser la nourriture puis s'enfuit littéralement en claquant la porte derrière elle. Dès que Valentina est partie, Nina lâche mon cou et sa
se", dit-elle en passant ses mains dans
elle performa
r maintenant." Elle se dirige vers la por
chemise ou quelque chose ?" Elle pos
as dormir en Os
d de moi, et je m'imagine la saisir et l'emmener dans mon lit. Je
envoyer quelqu'un chercher tes affaires
de vue
t de dormir à quelques dizaines de mètres de là. Le simple fait de penser à lui me fait mal au cerveau déjà grillé. La poitrine de Nathan est entièrement recouverte d'encre. Je l'ai vue quand j'ai déboutonné sa chemise, mais je n'ai pas eu le temps de prêter beaucoup d'attention aux dessins. J'aurais aimé le faire, car ce besoin de révéler au moins quelques-uns de ses secrets me ronge de l'intérieur. Le P
mis. Non. Je ne devrais pas me faire plaisir en pensant à un homme qui a menacé de me tuer. C'est tellement mal. Rapidement, je retire ma main, glisse les deux sous l'oreiller et essaie d'ignorer la douleur entre mes jambes. Je ne vais pas faire ça. Pendant des heures, je reste allongée dans mon lit, éveillée, serrant l'ore