Mafieux Milliardaire en Quête d'Amour
nure aussi... prévisible. Enfant, Ursule avait rêvé de grandes aventures. Elle s'imaginait parcourant le monde, vivant des expériences pa
es gens à planifier leurs vacances de rêve, mais avec le temps, la monotonie avait pris le dessus. Chaque jour se ressemblait. Les mêmes courriels, les mêmes clients
te saveur. Martin n'était pas un mauvais homme, loin de là. Il était gentil, attentionné même, mais leur relation manquait d'étincelle. Au débu
ibrer comme avant. Leurs conversations étaient devenues superficielles, tournant toujours autour des mêmes sujets : le travail, les courses, les facture
lança Martin depuis la cuisine, sa voix r
voir. « J'arrive ! » répondit-elle, tout en ajustant rapidement son maquillage. El
dre. Chaque soir, il préparait un repas simple mais équilibré, toujours selon les mêmes recettes qu'il maîtrisait à la perfection.
e ? » demanda-t-il en la regar
it-elle en haussant les épau
réponse brève, et le silence. Ursule piqua distraitement dans son assiette, son esprit vagabondant loin de cette cuisine si ordonnée. E
proposait des sorties ou des week-ends en amoureux, mais Martin semblait toujours trop absorbé par son trav
» tenta-t-elle en cassant le silence, espérant secrètement qu'il sa
k-end ? Je ne sais pas si c'est une bonne idée. J'ai pas mal de boulot en
pourquoi elle s'obstinait encore à proposer des choses, sachant pertinemment quelle serait la répon
grave, » dit-elle doucement, pl
-être parce qu'elle avait peur de ce que cela signifierait de partir. La peur de l'inconnu, de la solitude, de devoir tout rec
e dans sa propre vie, regardant son existence défiler devant elle sans pouvoir la rattraper. Elle rêvait de quelque
t, le regard perdu dans les lumières de la ville, une question ne cessa
uittait Martin, ce travail qui ne la comblait plus, cet appartement où elle se sentait enfermée. Mais chaqu
ontinuer ainsi éternellement. Ce manque de passion, de vie, devenait insupportable. Chaque jo
on regard vers Martin, qui était déjà allongé, les yeux rivés sur son t
tu es heureux ? » dem
ar sa question. « Heureux ? Bien sûr que
« Je ne sais pas... Je me demande juste... si on est toujours sur
, qu'est-ce que tu racontes ? On a tout ce qu'il faut. Un appa
'était pas le cas. Elle savait que quelque chose manquait. Mais comment pouvait
comprenait pas, il ne voyait pas à quel point elle se sentait perdue. Peut-être qu'il ne voyait pas parce
et sa relation tiède. Chaque jour, elle espérait que quelque chose viendrait briser cette monoto