Désirée par un Milliardaire
pit
omaine des Mornay. Ses chaussures, autrefois élégantes, étaient désormais ruinées, couvertes de terre et d'eau. Ses vêtements trempés collaient à sa peau, et chaque pas semblait un effort
jetant des ombres réconfortantes sur le gravier mouillé de l'allée. Le cœur de Livia se serra en voyant ces signes de chaleur et de sécurité. Elle hésita une fraction de seco
forgé. Ses doigts glacés cherchèrent l'interphone. Elle appuya sur le bouton, mais le vent hurlant é
i
pas là ? Et si personne ne répondait ? Elle leva une main trembl
. » Sa voix n'était qu'un mu
ernité, une voix familière re
est
fondrer en entenda
nom, comme si le dire à haute voix confirmait toute la
connexion s'était coupée. Puis, un déclic mécanique se fit
eignit enfin le porche, une lumière vive illumina son visage. Diana se tenait là, une silhoue
souffla-t-elle en voy
elle, la prenant par les
rivé ? Entre vite, tu v
rée, avec son parquet poli et ses lustres scintillants, frappa Livia de plein fouet. Elle fr
u mur. Elle disparut un instant avant de revenir avec une c
tu es dans cet état ? » demanda Diana, son
ts étaient coincés dans sa gorge, bloqués par l'émotion et
ne lenteur calculée. Alexander Mornay, le maître des lieux, émanait une autorité presque intimidante, même vêtu simplement d'un pantalon s
que ? » demanda-t-il, sa voix g
'envahit. Elle se sentit petite, insignifiante, sous le
ent, se plaçant instinctivem
rapidement. « Elle a besoin d'aid
sourcils, ses yeux se
ons-nous le domaine en refu
che et indignation. « Elle est ma meilleure amie. Elle
passant de Diana à Livia. Cette dernière sentit so
èmes ici, » dit-il enfin, chaque mot prononcé avec une froide
ment prête à répliquer, mais Li
mais sincère. « Je ne voulais pas causer de
rna vers ell
ça, Livia. Tu
veau vers son frère,
ccord, je trouverai un autre endroit po
eser ses options, ses yeux froids fixant Diana,
e veux des explicat
l'escalier sans un mot de plus
vant de s'agenouiller devant Livia, pre
est toujours comme ça au début,
'une part d'elle doutât séri
l'étage. La pièce était chaleureuse, avec un grand lit recouve
umant une lampe de chevet. « Prends une douche
rmes aux yeux. Diana la prit brièvement d
la submerger. Elle savait que ce n'était qu'un répit temporaire. Le danger qui la poursuivait n'
aissa la vapeur remplir l'espace. En se déshabillant, elle vit les ecchymo
à l'eau. Mais une pensée persistait : quoi qu'il arrive, elle devait survivr