UN AMOUR POUR DEUX

UR POU

e bonheur sur

erole pendant que les œufs cuisent dans une autre poêle. Elle fredonne lé

nt, son regard rempli d'une affection malicieuse. Il s'approche d'elle, sans bruit, et lorsqu'il arrive just

Tu devrais être assis, non ?" De

vres effleurant doucement son cou. Il l'embrasse tendrement, son souffle cha

er loin de toi... Tu sens telleme

le moment, mais une idée taquine lui vient à l'esprit. D'une main, elle attrape la louc

avec un faux

ontinues comme ça, je vais devo

ne de reddition, mais il ne recule pas. Son rega

un sourire

-ce que tu comptes fa

icieux, agitant l

r toute la sauce dessus. Mais, je vais

ochant à nouveau un peu :

ourire mystérieux, ses y

ranquillement de préparer ce repas délicieux, soit... tu m'attends sagement et je te

voix pleine de sous-entendus. Tho

un sourire

s ? Voilà un cho

ment les bras de Léa. Elle ne le repousse pas tout de sui

e choisirais toi à chaque fois."M

sse échapper un petit rire avant de se dégager légèrem

rd, monsieur le charmeur. Mais pour l'instant, laisse-moi fin

ant mine d'ê

i cruelle ? Me priver de ton i

oui ! Allez, va t'asseoir. Ce sera prêt dans cinq

ut s'empêcher de rire tout en obéissant. Il retourne s'asseoir, les yeux

s que je n'ai pas vraiment besoin de choi

rs détails du repas. Elle termine de dresser les assiettes avec soin

assiette devant lui : "Voilà, mons

sant, et tend la main pour l

es vraiment parfaite."a

ce de lui, un sourire

mon mieux pour t

é évidente, prêts à savourer à la f

la pièce, créant une ambiance intime. Thomas posa doucement son assiette

n souffle légèrement saccadé, comme

licatement une main sur sa joue, ses doigts

posant un baiser doux et profond sur ses lèvres. Ce n'était pas un simple geste ;

épondit à ce baiser, d'abord avec une légère hésitation, puis avec une passion grandis

sir réciproque, s'éloigna légèrement, seulement pour capter une dernière fois l'express

nte de Léa, ce qui provoqua un gém

nhhh gém

hargé de cette tension électrique qui les enveloppait. Le bois

it une caresse invisible, amplifiant ce besoin i

éa, il l'embrassa tendrement, infiltrant

e son petit ami, ces paupière se soulevèrent douc

ssons, semblaient résonner dans la pièce. Ses mains glissaient le

pousse un crie, comme si son érection était

monde autour d'eux s'était figé, et que

ondant à une chorégraphie silencieuse et instinctiv

manqué chéri.

on cœur, t'es telle

tteint l'orgasme et Léa folle de besoins en voulait plus, comme si elle avait un ap

ne vague semblable à un choc électrique la

cou

oule sur elle et leurs cœurs, palpitant à

ments de plaisir parta