Dans les jupons de sa mère!
rnel
e pense que la vie est faite de haut et de bas. Parfois, nous jouissons dans les sphères du haut (plaisirs
mme un nourrisson qui cherche le sein de cette dernière pour assouvir sa gloutonnerie. Entre deux boulots bien rémunérés, Desmond menait admirablement sa vie. Il couvrait
u de service, un regard pur et sincère. La trentaine dépassée depuis cinq ans, l'on se demandait ce qu'il cherchait encore dans la maison f
e. Alors, tous les hommes qui croisaient son chemin se retournaient bien évidemment pour apprécier son derrière. Très souvent les uns s'arrêtaient carrément pour l'admirer, alors que d'autres, les plus courageux l'interpelaient pour tester leur pouvoir à la séduction. Mal
que 25 ans à l'époque. Elle avait aimé ce dernier, qu'elle ne voulait le remplacer sous aucun prétexte. Desmond était d
âge de deux, trois, voire quatre ans. L'enfant marche déjà, il joue même avec ses amis du
repas que lui proposait sa maman. Si cette dernière pressait son lait à l'aide d'un presse lait, afin de le mettre dans un biberon, Desmond refusait carrément de le prendre. Il pleurait à chaudes larmes en faisant du vacarme jusqu'à ce que sa maman lui donne les seins. Et ce n'est qu'à l'âge de 3 ans et 10 mois que sa maman réussit à lui sevrer des sei
n séparer. Même à l'âge adulte, cette dernière laissait son fils se recroqueviller sur sa poitrine. De toute son enfance jusqu'à l'âge adulte, il ne se passait un
er sans stress, et cette dernière le laissait faire en disant «un gros bébé, tu ne veux pas grandir ?» ainsi, toutes les fois que sa maman met
qui attend l'arrivée de son époux. Celui-ci sans hésiter, courait vers sa maman comme un chat après une sourie pour jouer à son jeu favori avec les tétons de celle-ci. De ce fait, à l' avenir, elle décida de mettre continuellement les décolletés afi
rencontra sa voisine qu'elle ne voyait presque jamais. Les deux femmes se sa
rétor
est décédé depuis
ujours rencogné contre vo
» dit cette
vous avez le devoir de lui faire savoir qu'il
te, la voisine venait
sa femme. Elle se rendit tout simplement compte qu'elle l'avait excessivement cajolé au point de l'amener sans le vouloir à commettre l'inceste ! Elle avait envie de pleurer, de crier, de s'ôter la vie. Elle pleurait vigoureusement en prenant le soin de dissimiler ses larmes afin de ne point attirer l'attention des passants.
en train de téter ses seins comme un nourrisson famélique. Elle se souvint, également, et c'est ce qui l'avait intriguée ce jour, Des
ée à ce stade. Elle se rendit amèrement compte qu'elle avait curieusement prit goût à ce jeu infâme. Elle se rendit également compte, qu'habituelleme
e presque dénudé, son fils se leva et sans ménagement alla pr
ts de plaisir et de jouissa
a et elle s'endormie en tenue d'Adam. Curieusement, elle se réveilla le m
«qu'est ce qu
ua : «rie
pour s'en aller, elle fit un geste pour le retenir et
uatre murs de la chamb
sme ahurissant pou
ffant son cri à l'aide d'un fo
à la réalité voilée. Elle continua
regarder ce parfait inconnu ; et d'un bond, elle se leva et se jeta au cou de celui-ci. Jean était son camarade de classe de la seconde en terminale. Les retrouvailles furent conviviales. Elle l'invita à prendre un verre
loigner définitivement mon fils de mes jupons, et ceci de la plus v
e ; et les deux tourtereaux s'enivraient de champagne. Elle le fa