Les Cicatrices du Cœur
serait capable de briser le fardeau qui la pesait. Ses enfants étaient quelque part. Ils avaient ét
menée dans la bonne direction. Il l'avait aidée à comprendre qu'elle n'était pas seule à se battre contre
prête. Elle allait faire face à tout ce qui se dresserait devant
les feuilles mortes qui volaient autour d'elle. Et F
a décision qu'elle allait prendre marquerait un tournant décisif pour elle et ses enfants. Elle se tenait devant le manoir de **Michaël**, la demeure imposante qui appartenait à sa meute depuis d
prenaient les lois et les intrigues des anciennes lignées. Cela signifiait qu'elle devait faire face à **Michaël** et tout
p de tonnerre. L'air autour d'elle semblait lourd, chargé d'une énergie qu'elle n'avait jamais
Ses yeux sombres scrutèrent Florence avec une intensité qui la déstabilisa un instant. Il avait changé. Son reg
e son être luttait entre la rage et le désir de tout effacer, de revenir à ce qu'ils avaient été. Mais la vérité é
contre la vague de senti
rme, mais sous cette fermeté, un frisson d'angoisse la traversa. C'étai
oupir s'échappa de ses lèvres,
ne tristesse infinie. « Mais il y a des choses que tu ignores encore, Flore
nnu la paralysait, mais elle ne pouvait pas reculer. Elle av
t tu penses que je vais simplement accepter des explications maintenant ? » Elle tourna la t
épaules avec u
que nous avons traversé, ce n'était qu'une partie d'un plan bien plus vaste. Les triplés... Ils ne so
it été préordonné, comme si leurs vies avaient été manipulées depuis le début. Elle sentait la colère mo
ans un jeu ? » Sa voix tremblait, mais elle la maîtrisait. « D
sitation dans son regard. Puis, il
eute. Leur pouvoir... c'est ce qui nous permettra de maintenir notre domination sur les autres meutes, de s
d'un coup de poing dans le ventre. Florenc
r protéger un pouvoir ? » Sa voix monta d'un ton, pleine de rancœur. « E
**Michaël**
Florence. Je ne pouvais pas te laisser entrer dans ce monde, pas sans risquer ta vie. Et... je ne pouvais pas risqu
t réagir, chaque mot qu'il prononçait semblant s'ajouter à la complexité de cette situation. L'
oix plus basse, presque un murmure. « Tu v
la main vers elle. Mais Floren
si simple. Je veux mes enfants. Et je
uis, dans un souffle, **Michaël** parla
r en arrière, Florence. Si tu prends cette
e à faire face à la vérité, à l'af
out faire pour récupérer mes enfants. Et peu importe ce
a laissa partir, mais la lourdeur de ses paroles résonnait encore dans son esprit. La route serai