Cri ou bonheur du jour même
e dé
détr
au fond de
charnel
me consume e
vie d'être
t
nuit étai
nce rassurante
nées grasses,
nte
tait la lumi
assées, de
és, comme des
nt, tu étais cell
e qu'u
g de l
s auraie
saille
mbres et d
ra l'
jamais l
rerait
s tu ne me
e le souve
encore ; v
ma poussièr
rai
de marbre figés t
u ciel cris
'est pas e
défile pu
s'inscrivent,
veut n
son poin
ements s'
fond d'
n, va red
e végétale :
o
oussière,
nue qui s
ire, c'es
s qui se
es qui c
ire, c'es
urs cett
ette lumiè
ire, c'es
es d
du lion au
feu la val
ans la
s est i
comme pie
es clameur
dru seul
avant la
core...
vie valait plu
s péri
e une cour
ma vie
s à n'atten
les jours
nt pas
e parlaien
vie valait plu
is péri
e une cour
ta vie
s à n'atten
les jours
nt pas
e parlaien
'il te pla
moi je t'
st cette
t étrangers