Sous le coup de l'émotion
e avait vu des conflits éclater dans ce même café, mais jamais elle n'avait été au cœur d'un tel affron
ndre aux autres, » rétorqua le jeune homme avec assurance. Clara se sentait reconnaissante pour son intervention, mais elle sav
s, avec une arrogance déconcertante. Le jeune homme qui avait tenté de défendre Clara se leva alors, son regard
it pas que la situation dégénère, mais elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une lueur d'espoir.
Tu n'es rien. Laisse-moi tranquille, je m'occupe de Clara, pas toi. » Il s'avança vers le jeune homme, et Clar
ée dans l'intensité du conflit. Elle ne savait pas comment gérer cette situation. La pression montait, et l'atmosphère devenait d
battre ? » proposa-t-il, son regard perçant. Clara, prise de panique, se leva brusquement. « Non, ne faites pas ç
l restait ferme dans sa position. « Tu penses vraiment que tu es le
osa entre eux, se mettant au milieu de ce face-à-face explosif. « Écoutez, ça ne sert à rien
sant sur elle. Lucas la dévisagea, et Clara comprit qu'elle devait se défen
e espérait que son honnêteté toucherait un point sensible chez lui, mais elle savait que la rancœur ne se dissiperait pas facil
ins menaçant. Il croisa les bras, affichant un sourire sarcastique. « Regarde-la
tait tendue, e
chargée de colère. « Je suis désolée d'être la cause de ce conflit. Je ne veux pas être le centre de l'attent
es autres étudiants s'était apaisé, mais Lucas, visiblement vexé, ne voulait pas abandonner
ndant trop longtemps, et elle devait maintenant trouver la force de se défendre. « Tu sais quoi, Lucas ? J'en ai ass
ien du jeune homme derrière elle, et cela lui donna un peu de courage. Les mots qui avaient été
re que Clara n'était pas la même. La dynamique avait changé, et la frontière entre défense et viol
voix plus forte. « Tu ne sais pas ce que j'ai traversé. J'ai as
que sa provocation ne fonctionnait pas, tourna les talons, lançant un dernier regard à Clara. « Tu crois
ntit un mélange de gratitude et d'admiration. « Merci de t'être interposé. Je ne
érite d'être traité avec respect. » Ce simple échange éveilla en elle une lueur d
vie, mais elle avait trouvé la force de s'élever au-dessus d'elle. La frontière entre la défense et la violence s'étai
ne la hantaient plus de la même manière, car elle avait appris à les relativiser. Les rumeurs circulaient toujou
l avait une manière de la rassurer, de lui rappeler qu'elle n'était pas seule, et qu'il était toujours possible
mots avaient le pouvoir de blesser, mais ils pouvaient aussi ouvrir des portes vers de nouvelles connexions et un soutien inestimable. Les luttes pers