Le pouvoir caché d'Alpha
'ai plus de vêtements. Les lambeaux de ceux que je portais ont été détruits lors de ma transformation. Merde. Peut-êtr
e, mais je n'ai pas vraiment le choix. Je m'habille rapidement, enfilant un t-shirt blanc qui m'arrive aux cuisses et
la taille pour qu'il ne glisse pas jusqu'à mes chevilles, tellement Vianey est plus grand que moi. Sou
amortit mes pas. Je tiens la chemise blanche fermement, pour éviter qu'elle ne remonte trop. Mais, en ne faisant pas attention, mon pied se prend
humiliation ! En regardant mes mains, je remarque quelques cailloux incrustés dans ma peau, un peu de sang suinta
t. Je me retourne brusquement, scrutant les environs. Personne. Pourtant, je sens que quelqu'un est là. In
à voix haute sans
rd perçant, surtout après l'incident embarrassant de la veille. Mon cœur bat la chamade, mais je tente de le calmer, espérant qu'il ne puisse pas
eux, retenant mon souffle. Sa chaleur
e fait écho dans tout mon ê
r ne pas tendre la main et les effleurer. Ses yeux dorés, aussi intenses que des flammes, me brûlent presque, et son froncement de sourcils ne fait qu'accentuer cette
» Sa voix est neutre, mais cha
. je rentra
t-il, sa voix devenant pl
er : "J'étais juste allé courir", mon reg
ant, la colère menaçant de
oche la tête en si
je ne porte qu'un simple t-shirt. Génial. Encore un moment embarrassant. Je croise les bras instinctivement, essayant de dissimu
é mes vêtements en changeant, et c'était tout
ts de Vianey ?", son ton cha
. "Non, c'est juste un ami",
ondre, fixant mes mains éraflée
rs moi, et étrangement, je ne bougeai pas. D'habitude, je me serais écartée, mais là, mes pieds semblaient collés à la terre. Je pris une grande inspiration et la seule chose que
on souffle se fit plus court, et je pouvais presque entendre les tambours que mon cœur jouait dans ma poitrine. Ses mains, larges et rugueuses, contrastan
uis dit aussi », murmurai-je avec un petit rire, mais il
sans sa présence. « Rentre immédiatement, personne ne doit te voir dans cet état », dit-il d'une voix plus ferm
ffai un soupir, me détournai enfin, et me mis à marcher. Je sentais encore son regard peser sur mon dos, comme une chaleur persistan
t à bouger sans mon contrôle. « Alpha... » dis-je faiblement, m'arrêtant net, surprise par mes propres mots. Je me reto
coupa le souffle et mes yeux faillirent se détourner tant la chaleur dans sa voix et son regard était insupportable. « Ne t'excuses pas »
me semblait confus. Pourquoi m'avait-il dit de ne pas m'excuser ? Qu'est-ce qu'il voulait dir