L'ascension de jean
e avait un regard glacial, celui d'un homme qui ne parlait jamais pour ne rien dire. Son
ances étaient forgées dans l'ombre. La salle, baignée dans une lumière tamisée, bruissait des murmures des élites de Paris, mais pour Jean
joues un jeu da
aucun des gros bonnets qu'il avait côtoyés jusqu'ici. Pas de costume trop tape-à-l'œil, p
il en s'adossant nonchalamment à sa chaise. Mais à l
t pas un jeu. C'est la guerre. Et dans u
voilée. Il en avait assez entendu pour savoir qu'un mauvais pas ici
rêt à être plus direct. Parce que je n'ai
s'étira sur les l
'aime ça. Mais tu es sur le poin
es de sa poche, en alluma une et ins
croire que tu es aux commandes, mais la vérité, c'est que tu es une pièce dans un jeu bien plus vaste que toi. Si tu continue
s les paroles en elles-mêmes qui l'effrayaient, mais la faço
est-ce que tu me
r avant de se pencher légèrement vers Jean, c
prix. Abandonne tout. Quitte cette vie. Pars tant que tu le peux encore. Sinon... »
ésentait quelque chose de plus grand, quelque chose de plus dangereux. Mais Jean n'était pas du genre à fuir face à l'advers
-
quelque chose était en train de changer dans son entourage. Les regards étaient plus appuyés, les conversations plus secrètes. Max, s
n lit aux côtés de Sarah, son téléphone vibra. Le
: « A
an. On se voit ce soir à l'
savait que cet appel n'était pas une simple coïncidence. Il se redressa, regard
-
pôt désaffecté, un endroit à l'abri des regards, loin du luxe auquel il s'était habitué ces derniers mois. La nuit ét
ent avant de le laisser entrer. L'intérieur de l'entrepôt était faiblement éclairé, l'odeur d
it Da
n, content que t
nt ce que cet homme pouvait bien lui
« Pourquo
ourire qui n'atteig
s pas qu'on soit dérangés. Ce que j
e. Il savait que Damien ne l'avait pas
r, Jean. Les gens pour qui tu travailles ne son
aient étrangement ceux de l'inconnu
trahi personne. J
ha lenteme
est pas ce que tu fais qui importe. C'est ce
était bien plus grave qu'il ne l'avait imaginé. Les regards, les m
est-ce que tu
i, posant une main sur son épa
que tu sais. Tout ce que Max t'a appris. Toutes les informations que tu possèdes
it hors de question. L'homme qui l'avait formé, qui l'avait guidé, ne méritait pas d'être poignardé dans le dos.
ent que je vais trahir l'h
son sourire s'ef
s ce monde, il n'y a pas de loyauté. Seulement des choix. S
qu'il n'avait pas anticipée, et chaque décision semblait le rapprocher un peu plus
réfléchir. Mais je
, comme s'il s'atten
ue le temps, Jean... le temps est qu
emps était compté. Quoi qu'il décide, la tempête approchait. Et il
-
ende