Du manoir à l'empire d'un milliardaire
. Les parents Leroux étaient soulagés d'avoir trouvé une employée aussi compétente. Fatima devinait leurs besoins avant même qu'ils n'aient à les exprimer : Monsieur Leroux, toujours p
er discrète, parlant peu mais observant beaucoup. Elle comprit rapidement que Madame Leroux appréciait l'attention au détail, que Monsieur Leroux détestait les bavardages inutiles, et
art du grand manoir. Tandis que Fatima pliait du linge, Aïcha se blottit contre elle. « Maman, po
gens qui ont tout ne sont pas heureux. Ils se sentent menacés par ceux qui, malgré leurs difficultés,
gravées en elle. À partir de ce moment, elle décida qu'elle ne se laisserait pas abattre par la méchanceté de Cla
ères, mais elle se rendait aussi indispensable dans l'organisation des réceptions luxueuses que Madame Leroux adorait donner. Grâce à sa
emières
Elle est trop parfaite », pensa-t-elle un jour en observant Fatima préparer une réception sans la moindre fausse note. « Personne ne peut être aussi irréprochable
ssent toujours par en vouloir plus. » Ces mots résonnèrent comme un avertissement dans l'esprit de Madame Leroux,
: Le début de l
ention, supportait de moins en moins la présence d'Aïcha. La nouvelle élève venait de recevoir des félicitations inattendu
ncer une nouvelle pique à Aïcha. « Tu crois vraiment que travailler dur va te rendre comme nous ? » murmura-t-elle,
de fixer Clara avec calme. « Je préfère être la fille de ma mère que qu
se rendit compte qu'Aïcha n'était peut-être pas aussi fragile qu'elle l'avait cru. Une lueur
es Leroux et l'év
'Aïcha, décidèrent de lui accorder davantage de responsabilités. « Vous faites un excellent travail, Fatima. Nous aim
visible mais palpable entre Fatima et Madame Leroux. « Jusqu'où ira-t-elle ? »
avait changé dans l'attitude de la maîtresse de maison. L'équilibre qu'elle s'était effor
tourn
manoir pour des partenaires d'affaires influents. Fatima fut chargée de l'intégralité de l
? » la défia Madame Leroux avec un sourire en c
Pendant toute la journée précédant la réception, elle courut d'une pièce à l'autre, ajustant
si bien qu'elle », se p
saient détendus, savourant les compliments de leurs hôtes. Mais Madame Leroux n'était pas complètement apaisée. Elle
ves, veillant à ce que tout se passe sans accroc. Lorsque le dernier invité partit, Monsieur Leroux
et dans son cœur, une décision se forma : elle ne permettrait jamais à Fatima de dépasser sa place. À parti