Les Immortels : Le sang des dynasties 4
une bonne idée ? » dem
el est peut-être la seule personne capable de nous aider à comprendre la Brume Noire. Il a vo
lui ses propres démons, » insista
n'y a pas de temps pour régler nos vieille
ait difficile pour Drake, mais elle comprenait aussi la gravité de la situation. Si la Brume Noire réussissait à
iel, vêtu d'une longue cape sombre, entra avec assurance, son visage marqué par les années d'exil et de s
roisèrent, un silence lourd s'installa, rempli de souvenirs et de non-dits. Ni l'un ni l'autre ne parla immédiatement.
nalement Gabriel
épondit Drake,
stance qui les séparait. « Je suis revenu pour aider. Peu impo
ons besoin de toi. Mais sache
abriel. « Seulement une chance de prouver q
giné que son oncle reviendrait, et encore moins qu'il jouerait un rôle dans la lutte contre la Brume Noire. Mais elle savait que, com
st plus puissante que jamais. Gabriel, nous avons besoin de ton savoir, de tes expériences. Tu as par
nous aff
ire tout ce que je sais. Mais je ne vous cacherai pas que ce que
regard devenant plus sombre
l avait menées seul. « La Brume Noire ne se contente pas de corrompre. Elle consume. Une fois qu'elle s'empare d'une créature, elle l'utilise pour ses propres fi
tait avec attention. « Ça veut dire que... si elle corrompt a
nt vers elle. « Et une fois que cela arrivera
où la Brume Noire avait déjà été repérée. « Alors, il faut l'empêcher d'en arriver là. L'artefact que n
Drake, son visage durci par la détermina
etour de Gabriel marquait un tournant dans leur lutte, mais cela ne garantissait pas leur succès. La Brum
s avant de s'éloigner. Elle sentait une étrange connexion avec Gabriel, une sensation qu'elle n'avait jamais conn
lle, que ce n'était que
éclairait faiblement le domaine des Everhart. Elle observait son reflet dans le grand miroir en face d'elle, les yeux fixés sur sa propre
utour d'un vieux grimoire que Serena lui avait donné plus tôt. Les mots sur les pages semblaient flous, presq
mura-t-elle pour elle-même, s
sonna dans sa tête. C'était comme un souffle ve
rora.
. Le cœur battant à tout rompre, elle se tourna instinctivement vers la porte, s'att
pas lutter c
vement, le dos contre le mur. Elle reconnaissait cette voix. C'était la Brume
» murmura-t-elle, serrant les poings, ses po
ue de froid l'envahir, un frisson glacé qui lui parcourut l'échine, rendant chaque respiration laborie
lait flou, irréel. Au loin, une brume noire s'élevait, s'étendant à l'infini, recouvrant tout sur son passage. Des voix in