La Transperceuse du Milliardaire
ès retentissants, il était la définition même du pouvoir. À quarante ans à peine, il avait bâti un empire colossal dans l'industrie des nouvelles technologies, avec des en
n bureau au dernier étage de la tour Lefèvre, il savait que
irruption dans le bureau a
tée est arrivée, annonça-t
na vers lui, un
invi
ner avec elle aujourd'hui, vous vous souvenez ? C'est la présid
nables et les voyages d'affaires, il avait peu de temps pour ce genre d'événements, mais É
entrer, je vais la re
prévu de donner trop d'importance à cette rencontre, mais il avait entendu parler de cette femme. Belle, élé
ousait ses courbes sans être provocante, tandis que ses longs cheveux blonds tombaient en cascade sur ses épaules. Mais c
dit la main avec un souri
fin. Votre réputation vous précède, mais je dois dir
on assurance. Peu de gens parvenaient à le surprend
re que je ne vous ai pas fait trop attendre, répondit-i
alculé dans ses gestes, comme si chaque mouveme
en jetant un regard à travers les immenses baies vitrées
ent, en s'installant en face d'elle. Mais vous s
ement la tête, son s
é intrinsèque, monsieur Lefèvre.
ait quelque chose chez elle, un mélange de grâce et de mystère, qui l'intriguait. Il avait renc
aroles semblant glisser comme du velours. Chaque sourire, chaque regard semblait calculé pour ensorceler, mais sans jamais paraître forcé. Et
contre, Vincent se rendit compte qu'il avait déjà acc
pour partir, elle lui ad
nous revoir bientôt, dit-elle, son
répondit Vincent, p
bureau, un sourire léger flottant sur ses lèvres, sans savoir qu'à cet instant précis, son destin venait de basculer. Les jours qui suivirent, Vincent ne cessait de penser à Élodie. Elle occupait ses pensée
ent dans des restaurants exclusifs, visitèrent des galeries privées, et petit à petit, Vincent se surprit à lui ouvrir les por
staurant élégant surplombant la ville, Él
droit dans les yeux, tu sais que je t'admi
gèrement gêné par
est beaucoup de travail, m
main, ses yeux étincelan
vec ta vision du monde des affaires, et moi, avec ma passion
L'idée d'une vie partagée avec Élodie, d'un futur co
l s'était attaché à elle d'une manière qu'il n'avait jamais ressentie auparavant. Élodie sembl
e réunion importante, elle entra dans la s
n lui tendant la tasse. Je pensais qu'on pourrait passe
es engagements professionnels pour le week-en
ires à régler, mais je vai
t l'embrassa douc
besoin de te reposer, Vi
epoussa ses réunions, déléguant certaines tâches à ses collaborateurs. Il n'avait jam
res, des changements dans ses habitudes de vie. Élodie avait cette manière subtile de faire ses demandes, presque comme si el
la terrasse, admirant le coucher de so
evrais pas déléguer encore plus. Tu travailles telle
un sourcil
i j'ai confiance, mais je suis toujours
vers lui, un regard
eur faisais encore plus confiance. Nous pourrions voyager, vivre
avait déjà tout ce qu'il voulait : l'argent, le pouvoir... et maintenant, Élodi
raison. Je vais y ré
ureuse que jamais. Et Vincent, aveuglé par son amour, ne voy
ie quotidienne, ses décisions professionnelles et même ses relations personnelles. Vincent, autrefois l'homme d'affaires redouté, semblait être devenu un
ans un salon privé d'un hôtel de luxe, Élodie lui fit
ur artistique ? J'ai beaucoup de contacts dans ce milieu, et je
it jamais vraiment fait partie de ses priorités, mais av
out en jouant avec le verre de champagne dans
urire qui cachait une
en vente. Une institution très respectée. Si nous la rachetions,
nt, mais Élodie glissa
ions bâtir un empire encore plus grand, plus élégan
yait plus d'obstacles, seulement des opportunités. À traver
serva les changements de comportement de Vincent avec inquiétude. Ses réunions étaient moins fréq
, vous êtes moins impliqué dans les affaires. Votre conseil d'administration a c
urcils, légèrement ag
s un peu de recul. J'ai travaillé sans relâche pendant
s longtemps, et ce n'est pas dans vos habitudes
à une mise en garde. Il n'avait pas besoin d
e m'aide à voir les choses sous un angle différent
le bureau, laissant Vincent seul avec ses pensées. Mais Vincent ne s'y attarda pas. Chaque fois que le dou
emble dans leur penthouse, Vincent me
moi. Il pense que je délègue trop, dit
ire apaisant, mais il y avait
à l'ancien Vincent, celui qui devait tout contrôler. Mais toi, tu as évolué. Tu es un homm
ujours été fier de son indépendance, mais cette nouvelle ap
ercer par ses paroles. Peut-être que Lauren
nir s'asseoir sur ses genoux, glissant
Vincent. Ensemble, n
ous l'emprise de son charme, se laissa empo
qu'il apparaissait. Élodie demandait de plus en plus de contrôle sur certains aspects de sa vie : les projets d'affaires, les personnes
filets d'Élodie, mais pour l'instant, Vincent était enc