Séduction à double-sens
înant derrière eux, remplissant les dortoirs pour une nouvelle année. Le hall principal, lieu de rencontre incontournable, débordait de
sortir en tenues légères : shorts, jupes, débardeurs... Les tables extérieures du hall étaient prises d'assaut, et une enceinte crachait des rythmes
mêmes lieux, et il était certain d'une chose : il avait déjà couché avec la plupart des filles qui étaient là. Celles qu'il avait évitées, c'était soit parce qu'elles n'étaient pas à son goût, soit pa
apté par une blonde audacieuse qui le fixait avec un désir évident. Un sourire en coin s'esquissa sur ses lèvres. Il savait exactement quel effet il produisait sur les femmes. S
que ça. Et il ne comptait pas changer.
blonde, une voix familière l'interrompit. Mor
emière année », déclar
ablo, même s'il savait parfaiteme
t sous le soleil, et son rire cristallin se distinguait du bruit ambiant. Ses yeux bleus pétillants fixaient l'un des joueurs
sa Morgan. « Tu ferais mieux
es de son équipe de foot, certains vantant son intelligence, d'autres son habileté à les sortir des situations délicates en classe.
eule si tu la blesses, t
ules. « Ça pourrait
de qui le lorgnait encore, et se dirigea résolument vers Maryse. S
i, pour déjeuner, mais il se faisait attendre. Les minutes passaient, et la foule autour d'elle ne faisait que grossir. Des camarades de son équ
égèrement décoiffés, son sourire éclatant... Il avait tout de l'Américain parfait. Mais ce qui faisait mal, c'était la pensée que, malgré toutes ces années d'amitié, Osnel ne la voyait
nd Osnel la serra dans ses bras pour une rapide accol
ent en voyant la fiancée d'
ryse aimait bien Davis, il faisait partie des rares à ne pas la traiter différemment parce qu'elle était une fille.
rlait, elle sentit un regar
rs. On sentait dans l'air une effervescence typique de la rentrée. L'université de Boston, avec ses bâtiments imposants et ses pelouses parfaitement entretenues, était en eff
usique s'échappait d'un groupe d'étudiants assis autour d'une enceinte, leur Beatbox crachant des rythmes rythmés, comme si l'été refusait de céder la
oré toutes les possibilités. Les femmes sur le campus ne lui étaient pas étrangères, du moins celles qu'il jugeait dignes d'intérêt. Son regard perça la foule, repérant rapidement les nouvelles têtes. Ses critères étaient simples