La Vérité des Vampires
es racines émergèrent de la terre sous moi, et je commençai à les trancher avec mes griffes alors qu'elles s'enroulaient autour de moi. Les gardes
rocs tachés de rouge, et je lui grognai dessus. Puis le Skin disparut devant moi, et je hurlai de douleur lorsqu'il se rematérialisa et me frappa à nouveau
tête alors que je lui écrasais le visage et le jetais sur le côté. Je n'allais pas faire pr
étiquement autour de moi jusqu'à ce que je le trouve : un garde loup-garou sous sa forme humaine était attaqu
és me brûlait les narines, l'ode
ma divinité... mais que je ne perdrais pas l
on abdomen et m'a tiré en arrière. J'ai atterri durement sur le sol, et une autre racine a encerclé ma jambe gauche et m'a tiré vers la forêt. J'ai essayé de couper celle qui se trouvait autou
divinité uniquement sur les racines enroulées autour de moi. Mon pouvoir explosa de mon corps, brûlant les vignes épaisses pour que je puisse f
e me battais. Mon corps bougeait d'une manière qu'il n'aurait pas fait autreme
es éclairs parcoururent le sol et s'accrochèrent à lui, s'enroulant autour de son corps. B
inuaient à arriver. J'ai aperçu Will, qui a décapité un Bl
s boules de feu sur les Ressuscités et les Saigneurs avant de
cement aux côtés des habitants de la ville, ceux q
! Éloignez-vo
archait à reculons, un Bleeder avançant lentement vers elle. Elle était jeune, pas plus de sept ans peut-être, e
de sang sur son visage, recouvrant l'autre œil. Son bras gauche était posé sur son ventre et elle re
ant et la panique m'envahit. Ce qui se passa ensuite se prod
se brisa parvint jusqu'à moi dans les airs, et mon cœur se serra tandis que je regardais ses y
j'ai levé les mains au-dessus de ma tête, et le tonnerre a grondé au-dessus de la ville. Je ne me
tait qu'
fa mon âme tandis que son corps brûlé tombait au sol. Les autres Saigneurs et les Ressuscités cessèrent de se battre,
ent ma divinité se brisaient. La foudre frappa au loin, suivie d'un coup de tonnerre. Je fermai
yrus tombait du ciel pour se tenir à mes côtés. Les yeux r
il, puis il dispa
e ce que j'ai dit dans la forêt. Tu contrôles ce pouvoir. Il ne te contrô
s par un autre éclair qui éclairait la nuit. « Déesse », priai-je. « Prête-moi ton p
pu sentir la terre et sa puissance, sa force et sa stabilité sous mes pieds. J'imaginais mes mains s'enfoncer dans le sol sous moi, sentant l
, des Ressuscités et des habitan
omme une vague scélérate, déferlant et détruisant tout sur son passage. Mais cette fois, c
emblement, et j'ai souri alors qu'il commen
me suis-je
terre gémit comme si un mons
'ai