Mariage heureux : Ma chérie, Tu es à moi
» Sigrid a fait avant de balbutier : « Je n'ai p
urd'hui, commence
rop autoritaire. Il avait déjà pris s
couché à un mètre d'elle, elle s'
re et a posé le livre sur la table de chevet avan
ommeil, un bras puissant s'est tendu et s'est
ée au niveau de sa taille. Ignorant son malaise, l'homm
é contre sa poitrine chaude. C'était la
use du silence ou bien du fait qu'elle soit aussi nerveuse si elle
aurais du mal à m'endormir. En fait, je ne suis pas habi
tte position toute la nuit, il lui faud
e ? » La voix profonde et rauque de l'homme résonnait derrière
uer : « Je n'éprouve aucune envie. Je ne suis pas comme ma sœur. D'ailleurs, si t
, Sigrid pensait l'avoir provoqué. Pourtant sa voix a retenti
Quoi ? Tu as donc de l'envie quand tu me regar
répondu : « Dors maintenant
nies, Sigrid a fini par s'
réveillée, la chaleur qui l'avait e
descendu les escaliers et a vu George assis à table
uisine pour lui servir un petit-déjeuner chaud. Il y avait cinq ty
que le goût de son beau-frè
our, G
s, mais il n'a pas pris la peine de co
s'est levé en lui disant : « Prépare-toi
nue nerveuse. Elle a bégayé
Prépare-toi. » Ainsi, il a demandé à quelqu'un de l'e
t l'impression qu'on la conduisait à la prison. Elle a posé ses mai
é les lèvres et dit : « La belle-fille laide doit voir ses beaux-paren
que j'étais belle. Aujourd'hui, tu me dis