LE MILLIARDAIRE À L'AIMER
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es années p
e un imbécile mai
t j'ai fait de mon mieux pour profiter de chacun d'eux. Le seul que j'ai regretté était mon passage dans un
et de l'argent. Je ne suis pas académique-les livres de romance constituaient l'essentiel de ma collection. J'ai toujours été parfaitement he
dant. Le petit personnel y travaillait depuis des ann
ai dû faire une dernière pièce pour
x Saint Nick avec ses cheveux argentés, ses joues arrondies et son rire bourru. Nous nous entendions toujours bien étant donné que j'étais l'un de se
me prenait que parce que j'étais l'une de ses clientes préférées et que comme sa
librairie avec un sourir
s si pour une raison quelconque je ne pouvais pas me qualifier, Timothy m'avait assuré que l'argent de mon université était mis de côté en toute sécurité pour couvrir mes frais de scolarité. L'argent de la librairie aiderait à paye
ssie
olet jaune passer devant un cycliste et s'arrêter s
i la tête des fenêtres latérales et m'ont regardé. Leurs petits amis,
s cheveux blonds ensoleillés et ses yeux bleus brillants, elle échouait toujours à
de Travis », a ajouté Deanna avec une légère arcade sourcilière comme pour me rappeler le
à Books Cabin, c'est pourquoi je ne pouvais pas y arriver plu
dans cette librairie. C'est notre dernier été avant l'université. Il vous
mmédiatement
maison à la place. J'aimais la plupart des gens de notre année, mais pour être honnête, je n'étais pas toujours convaincu des choses habituelles qui les intéressaient. Parfois, j'avais l'impression d'avoir des décennies de plus que les gens autour de moi, mais j'essai
à l'Université de Boston. J'alla
s j'aurai encore tout le temps de passer du temps avec toi, ne t'inquiète pas », les rassurai-je avec le sourir
avec un clin d'œil avant que Nol
mon incapacité à travailler pour lui cet été. S'il avait été plus comme oncle Gary, je le trouverais au prêteur sur gages familial, mais il ne l'était pas et je n'a
au coin de la rue. Il appartenait aux Pendley, d'abord par mon oncle et sa femme, tante Hilda, qui était la
ueilli. Ils n'étaient en aucun cas riches mais ils se débrouillaient bien, gérant un petit prêteur sur gages qu'ils appelaient simplement Pendleys.
ien qu'il ait agi parfaitement normalement
s fréquents voyages au casino et dans les bars où il dépensait imprudemment tout l'argent que le prêteur sur gages rapportait, le cas échéant. Difficile d'en être sûr ces jours-ci car il se présente à peine là-bas pour le diriger. J'
où j'ai essayé de veiller à son bien-être se sont retournées contre moi. Il était impoli et méchant quand il était sobre, mais quand il était perdu, j'avais parfois un assortiment d' »accidents », c'est ainsi qu'il les appelle le lendemain aprè