L'assistante
t là, debout un verre à la main, ob
toits des maisons. En observant, les flocons de neige tombés
l a mal ? Ou doit-il le conser
, ce passé abrite les so
tes ces années. Même une fois par
u'un seul être puisse c
cette personne. Sans elle, vou
"comment puis-je
rendront cela qu'au premier degré
i vous tenez s'en va. Vous n'arrêterez pas de respirer. Vous continu
i l'a dit. Aujourd'hui, i
yeux mais, elle est partie, lui arra
Elle
sans elle. Il souffre. Il a mal. Son
, la presse, la frappe puis la caress
sonne pour te répon
. Il saigne. Il n'arrive pas à cicat
si ? Elle t'offre le meilleur pour te le reprendre. Elle t
pièce est dans un noir et silence complet. Seul les lumières de
ieuse rire aux éclats. Il entend un chant qui vient
me
corps contre le sien. Caresser sa peau douce et laiteuse. Écouter ses mots prononcés méthodiquement, intelligemment. Il veut revoir ses jambes fines avec lesquelles elle
ù est
rien, il se
le fait vivre. E
r, il en veut à la vie. Il s'au
uoi
appelle intentionnellement. Il veut revoir ses gestes, ses actions dans chac
s elle à
quoi faire. Il veut hurler sa dou
u rythme de sa douleur. Les pulsations s
ie, il saig
Seulement, pendant combien
tre peut il autan
comme auparavant. Il s'est dit peu importe, elle est parti
rien entendre, il
nt vivre s
r de son cœur. Il a recouvert son cœur de pierre. Tout va bien. Il ne ressent plus rien. Toutefo
dure lorsqu'on veut le réparer? Il est pou
poitrine et se mau
vivre sa
à l'hôpital. Coma éthylique. L'a
nt en occident, il chercha. Elles étaient belle
hecs. Il laisse alors tout l'envahir. Les voi
a touj
urer. Peut-
fort. Solide comme un roc
revient s'asseoir. I
:
ux et expire bruyamment. Ses mu
ment tout à pu basculer en un instant. Parfois, il se d
toujours avec lui. Toujour
nd. Une larme solitaire
le. Il h
lui. Il essaye de l'attraper mais, il n'y arrive pas. Elle lui
ça ne l'
t encore au nez et lui dit que ce n'e
n est-il