Yuri

u

exclame Jorgen sur un ton réproba

mment elle a pu se rappeler de ce détail, que ma colère

evenir au commissariat et parler de cela. Le

nt ma main dans ma chevelure ébène, moi ce qui m'inquiète,

rofond, je finis par y boire comme un animal. Je n'arrive pas à comprendre ce qui se passe. Est-ce moi qui n'ai pas

puis quand ? lui demandé-je int

t été agressée dans sa maison d'accueil... C'est une de ces ancienn

n mal depuis son arrivée, en concl

, tout en sentant les battements d'alerte de Jorgen qui recule auprès de la porte. Je ne vais pas l'attaquer et il le sait, mais j'avoue êt

de mon siège et mon regard flamboyant d'un r

.. Yu

te sur lui. Les battements de son cœur résonnent dans ma tête, son souffle en alerte résonne

s'écrie Jorgen alors que je passe la langue sur mes ca

la trouver ! hurle Jorgen et

e de mon seul ami fidèle en portant ma main sur mon vissage, en ne comprenant pa

Pa

uri

rai, ajouté-je, j'ai besoin de rep

ami a raison... je dois aller voir cette fille et découvrir ce qui me rend fou. Est-ce son sang ? Est-ce sa ressemblance avec ma

ta

res qui pensent que nous les serveuses, nous sommes de la chair fraiche à leur disposition. Heureusement je finis par récupérer ma jambe et je reviens vers le comptoir en essayant de garder mon sourire. Je sais que c'est la seule chose que je puisse faire maintenant, et bien que cela n'était pas dans mes plans d'avenir... Je serre les dents tout en repensant à cet enfoiré de directeur qui ne m'a pas laissée une seule chance. Mais comme le dirait Tatiana, il valait mieux ainsi. S'il m'avait acceptée, il aurait eu accès à mon dossier en entier et il aurait appris les raisons de mon renvoi

mon cou en glissant ses mains sur mon ventre nu, je suis cer

dire en essayant de retirer ses

outes les autres ici, jus

our me montrer qu'elle ne peut pas intervenir... mais ce n'est pas cette impression qui me traverse... « Tu traines avec la pute de Tatiana, tu dois baiser tout ce qui bouge, non ? » Ces

u

dire, elle n'a rien à envier à ma chère Olga. Les courbes de son corps sont encore plus affolants que le jour où elle est venue dans mon bureau. La pureté de sa peau blanche qu'elle laisse entrevoir entre sa jupe noire et son top me mettrait même en appétit... seulement si je voulais la tuer. Je porte le verre à mes lèvres, tout en regardant ses longues jambes et je grimace en voyant la main de cet enfoiré se poser sur sa cuisse. Je secoue doucement la tête, comprenant ce qui va se passer et en un instant, elle se retrouve sur ses jambes. Je serre le verre de Vodka si fort entre mes doigts,

clamé-je en la jetant au sol sans aucune délicatess

es malade ! C

i me fait ramener mon regard sur elle. Je me rends compte à cet instant, devant ses grands yeux océan qu'elle vient de me reconnaitre. Elle

us n'avez personne d'autres à qui pourri

our être le directeur de l'université... mais j'ai quelque chose d'étrange dans la g

cela. C'est donc ainsi que vous voyez votre futur, lui

pour se rapprocher de moi, vous m'avez virée de votre bureau sans prendre la peine de regarder mes d

rétorquer, qu'elle passe à côté

en glissant mes doigts dans ma longue cheve

les étaient... et pourtant, quelque part en moi, quel

ti

j'en suis venue à laisser tomber. Je prends la tasse de café que je viens de faire et je m'assois sur le bord de la fenêtre en regardant la neige tomber. Honnêtement, j'ai de la peine pour mon amie. Elle était tellement heureuse quand elle m'a dit qu'elle était reçue à l'université, et qu'elle allait tout faire pour avoir sa gestion pour ouvrir cette boutique de vêtements gothique qui la caractérise tant, que la voi

tian

en la voyant s'étirer dans le lit, pas trop

boulot de jour ! lance-t-elle en sautant du lit telle une

ton opt

t sonne et son re

ue ? dit-elle en

mandé-je en la rejoignant et

avez rendez-vous avec le di