En quête d'amour: Rencontre en ligne
é que s'ils se séparaient, ils resteraient proches. Ils gardaient une énorme affection l'un pour l'autre, et beaucoup de respect. Ils se voyaient souvent, à l'occasion de balades et de petits repas
urs contemporains. Pierre avait confiance dans son jugement. Elle lui confirma aussi, pour l'encourager, la limpidité et la précision de ses textes. Elle lui fit sentir, d'une façon involontaire, qu'il ne possédait pas, ce qu'on appelle une écriture, un style personnel, original, le problème ne se posait pas en ces termes. Pierre et Maryse se montraient lucides, très conscients que leur travail s'orientait vers une grande saga sur fond historique, plus près d'un roman de hall de gare qu'un ouvrage destiné à un prix littéraire. Ils envisageraient le « Goncourt » pour plus tard ! L'essentiel consistait à s'amuser, à occuper le temps, à aller jusqu'au bout d'une démarche, qui par le fait même d'exister, méritait un certain respect. Maryse, prise par son examen, n'envoyait plus rien depuis sa première page. Il « ramait » seul, visualisait des moments, essayant de les coucher sur le papier, sans souci de chronologie. Il prendrait le loisir de les mettre dans l'ordre plus tard. Pierre s'accrochait à ce travail, il laissait ainsi une trace modeste, mais palpable, indélébile par la présence de toutes ces feuilles, de ces brouillons raturés, qui attestaient par le
uantité de dames, sa frappe sur le clavier s'avérait plus rapide à ce jeu, les mots s'apprivoisaient plus aisément, il perçut
nthe-57 Date : 3
Votre
e belle, mais t
à vous.
de :
Avril.
: Votr
oman réalisé à « Quatre mains » ava
11 avril 2001. 18 h 17 Objet
mme vraiment très joli
u
sir solitaire, le soir devant un film porno, pouvait se présenter comme un dépannage provisoire et exceptionnel, mais pas comme une fin en soi. Cette pratique engendrait chez lui, non plus la culpabilité de son enfance, mais une certaine tristesse, le manque de partage, sans doute ? Se référant à la c
parfois que nécessité fait loi. Ses exigences se révélaient d'autant plus paradoxales, que toutes ces qualités, allaient plutôt déclinantes, chez lui au fil des années. Les rares femmes qui échappaient pour l'instant, à sa sélection sévère, et à son jugement sans appel habitaient malheureusement loin. La dernière en date résidait à Strasbourg. Elle
rillante. La personne habitait Mâcon, elle ne se voyait pas résider en Bretagne, coupée de ses enfants et pour lui les rives de la Saône, manquaient d'horizon et son eau, de salinité. Ils s'en tiendraient donc à une correspon
'entre pas dans ce cas de figure, qu