Milliardaire par accidents
eur, lorsque son téléphone se mit à vibrer. Le numéro affiché était inconnu. Il
ntant de dissimuler s
oix grave et posée résonna
oi. Qui est à
rer au sujet d'une affaire importante concernant un hérita
aucune connaissance de proches suffisamment riches pour laisser u
rai là. Où se trou
ta un moment immobile, le téléphone encore à la main. L'idée d'un héritage semblait sortie d'un roma
été. Il choisit sa meilleure tenue – une chemise propre et un pantalon repassé – et prit soin de se raser de
, mais Antoine se sentait étrangement optimiste. Arrivé devant l'imme
re. La secrétaire l'accueillit avec un sourire professionnel et l'invita à patienter. Quelques
s ? Suivez-moi,
tres laissaient entrer une lumière diffuse. Maître Lefèvre l'
vrit un épais dossier devant lui. « J'ai contacté plusieurs membres
trigué. « L'unique héritier d
ssier. « Votre oncle, Jacques Dubois, est décédé récemment.
Jacques Dubois ? Je ne savais même pas
es affaires et a préféré rester à l'écart de la famille pour des raisons qui lui sont propres. Ce
mble trop beau pour être vrai. Comment puis-
testament de votre oncle, dûment signé et en
plus fort. Tout semblait en ordre. Les détails de l'héritage étaient c
murmura-t-il. « Je ne le
arcours de loin. Il a été impressionné par votre persévéra
on. Cette nouvelle était une bouffée d'oxygène inattendue
? » demanda-t-il enfin, levan
isite des biens. Votre oncle possédait plusieurs propriétés et des acti
sous le choc. « Très bie
t que cette opportunité pouvait changer sa vie, mais il restait prudent. A
ée dans un quartier huppé de Paris, la propriété était impressionnante. Une grande port
menta le notaire en ouvrant la port
haque pièce était décorée avec soin, des meubles anciens aux œuvres d'art sur l
porte à double battant. « Vous trouverez ici des documents importants
ant. « Merci. Je vais avoir besoi
vous faut, Monsieur Dubois. Votre oncle vous a laissé un hé
i lui avait été légué. Chaque document révélait un peu plus sur la vie de cet oncle mystérieux. Des investisse
dans la tête. Était-ce vraiment aussi simple ? Une part de lui craignait que t
. L'excitation de découvrir un nouveau monde se mêlait à
ndait comment un homme pouvait accumuler autant de richesses tout en restant inconnu de
esponsabilités qui l'accompagnaient, ou rester fidèle à sa vie modeste et à ses projets personnels ?
errompant ses pensées.
. Il semble que votre oncle avait des associés dans ses affaires. Certain
d'appréhension. « Que vo
nnes qui pourraient essayer de contester l
t les craintes qu'il avait tentés de réprimer remontèrent à la surface. Il éta
ophie lui revenait en mémoire, ses paroles de regret et de déception résonnant encore dans son esprit. Il se d
nt de faire un choix définitif. Il ne pouvait pas laisser cette chance lui échapper sans explorer
-t-il en fermant les dossiers. « Je d
'il en
e se coucha, prêt à affronter les inc