L'Héritage des De Ligny : Amour, Secrets et Renouveau
e 7 : La
Allongé sur son lit, les yeux fixés au plafond, il revoyait les événements de la veille. Le bal masqué avait été un tourbillon de lumières
egardant les vastes jardins du manoir, il ne pouvait ignorer la tempête qui faisait rage en lui. Son esprit était embrouillé par des pe
ura-t-il à lui-même. « Elle est bien trop
ur de ses mains dans les siennes, la chaleur de son regard - renforçait son désir. Il devait se co
édente, chaque danse et chaque mot échangé avec Damien. Une chaleur douce l'envahissait à chaque pensée de lui, mais cette chaleur éta
rdant son reflet dans le miroir. Elle effleura le masque dor
p discret à la porte. C'était Émilie, sa gouvernant
dans la salle à manger. Monsieur Damien a égalemen
u plus vite à la mention de Damien. « M
x anciens ornaient les murs, et une longue table en chêne massif était dressée avec éléga
hèque. La pièce, remplie de rangées de livres anciens et d'antiquités, était l'une de ses préfé
ntensité qui trahissait son agitation intérieure. À l'arrivée de Clara, il s
venue, » dit-il, sa
r son propre trouble. « Bien sûr,
de continuer. « Clara, je... je veux être honnête avec
e pour lui, un sourire
mpliqué. Vous voyez, Clara, il y a des aspects de ma vie, des responsabilités et des dangers, que je ne
vous ne pouvez pas partager avec moi, Damien. Mais ce que je ressens pour vous est rée
renforçaient également sa détermination à la protéger. « Vous
Damien, ce choix ne vous appartient pas e
ur de Damien, qui entra dans la bibliothèque avec un sourire espiègl
asquer son trouble. « Marguerite,
t. « Clara, voulez-vous venir avec moi ? J'ai besoin de v
signe d'encouragement. « Allez-y, Clara. Nou
s de Damien. Marguerite, en dépit de son apparente insouciance, avait remarqué la tension en
e très protecteur, parfois à l'excès
ite. « Merci, Marguerite. Je sais qu'il veut me protéger,
mais l'esprit de Clara restait fixé sur Damien. Elle sentait qu'il y avait
devant ses yeux. Il se leva finalement, agité, et sortit dans le jardin. La fraîcheur de l'air et la beauté des fleurs n'arri
avait besoin de réfléchir, de comprendre ce qu'elle devait faire. Soudain, elle aperçut Damien, assis sur un
appela-t-ell
par la fatigue et l'angoisse. « Clara, je... je
nant ses mains dans les siennes
ontre mes sentiments pour vous, parce que je veux vous protéger. Mais j
en, peu importe les dangers ou les complications. Ce q
ur. « Clara, je ne veux plus fuir. Je veux être av
a le visage de Clara. « Alo
nt dans l'eau de la fontaine, créant une toile de fond parfaite pour ce moment de sérénité retrouvée. Ils sa
ne serait pas facile, mais la perspective de faire face aux obstacles avec Damien à ses côtés la remplissai
légé le poids qui pesait sur son cœur. Il était prêt à affronter les défis de sa vie co
tait servi. Leurs regards se croisèrent, et un sourire complice illumina leur
ssion déterminée. « Il y a quelque chose que je dois vous dire, que
cha la tête, prête à entendre ce qu'il avait
e famille aristocratique ordinaire. Nous sommes impliqués dans des affaires qui, parfois, peuvent
que mot. Elle pouvait sentir la gravit
remontent à plusieurs siècles. C'est pourquoi je me suis souvent montré distant e
en, je comprends vos inquiétudes. Mais je suis ici mai
x plus vous cacher la vérité, Clara. Je veux que vous sachi
ue interrompant leur conversation. Elle s'approcha avec un air préo
nt en lisant les premières lignes. « C'est de notre cousin, Alexandre. Il se
de monter en elle. « Qu
rendre à Paris. Ce n'est pas une décision que je prends à la
ion égale à celle de Damien. « Alo
et de préoccupation dans les yeux. « Je vais
ajestueux, était en effervescence. Les domestiques emballaient les bagages, et les chevaux étaient p
res familiales. « La famille Beaumont a toujours été au centre de nombreuses intrigues, » expliqua Marguerite
le se sentait prête à affronter ce qui les attendait à Paris, con
rgées sur les carrosses, et tout était prêt pour le voyage. Damien et Clara se tenaient côte à cô
emanda Damien, ses yeux
rire déterminé sur les lèv
, passant des collines verdoyantes de la campagne aux rues animées et pavées de la ca
eut aussi être impitoyable, » dit Damien, ro
tant que nous sommes ensemble, je sais
dre, un homme d'une trentaine d'années au regard perçant. « Damien,
ce au cœur de la ville. La maison était tout aussi impressionnante que le manoir
situation est plus compliquée que je ne l'avais imaginée, » commença-t-
e qu'Alexandre parlait. Clara, bien que légèrement intimidée pa
e. « Si nous voulons protéger nos intérêts et not
ux la force et le soutien dont il avait besoin. «
. « Oui, Damien. Je suis à vo
iques, Clara et Damien se retrouvèrent seuls dans la bibliothèque de la de
si rapidement, » murmura Clara, regard
son épaule. « Oui, mais nous sommes prêts. Et tant
« Damien, je veux que vous sachiez que je suis ici par choix.
our et de son soutien. « Je n'aurais pas pu espérer un
vaient que les jours à venir seraient remplis de défis et de dangers, mais pour l'inst
La tentation et l'amour qu'ils ressentaient l'un pour l'autre étaient indéniables, mais ils savaient que leur pl
rtant des nouvelles et des rapports. Damien et Alexandre discutaient vivement des prochaines é
de leur loyauté, » déclara Alexandre. « Il est cruci
r Clara. « Et nous devons rester vigilant
la peur qui l'avait initialement envahie. Au contraire, elle se sentait prête à affron
prit un moment pour parler en privé avec Clara. « Clara, je veux que vous s
. « Et vous êtes la mienne, Damien. E
remière réunion de la journée. Ils savaient que le chemin devant eux serait semé d'embûches, mais ils ét
atégies pour protéger les intérêts de la famille Beaumont. Chaque réunion, chaque conversation renforçait leur déterminat
omme à leur habitude. Damien s'approcha de Clara, prenant ses mains dans les siennes. « Clara, ces
haque défi que nous relevons ensemble ne fait que renforcer notre lien. Nous
u sous ses doigts. « Clara, il y a encore tant à affronter
de lui. « Je serai toujours là pour
e Damien ne brise de nouveau le silence. « Demain, nous rencontrerons le Duc de
ce nouveau défi. « Que devons-nou
cipes et de loyauté. Nous devons lui montrer que notre cau
étaient résolus à réussir. En arrivant à la demeure du Duc de Montreuil, ils furent accueillis avec une formalité glaciale. Le Duc
ua-t-il d'une voix grave. « J'espère que vous avez
e Duc, nous avons besoin de votre soutien. Nos ennemis se font plus
t de répondre. « Et pourquoi devrais-je r
is sachez que notre lutte est aussi la vôtre. Si nous tombons, nos ennemis chercheront à s'attaquer à tous