Nuit fatale du milliardaire
ère matinale, symbole de renouveau et d'espoir. Mais ce matin-là, son cœur était lourd, et le soleil ne parvenait pas à chasser les ombres qui envahissaient son espr
ignorant encore le tourment qui étreignait Claire. I
Bien dormi ?" demanda
lui d'Alexandre, et elle vit l'amour et l'insouciance qui y résidaient en
elle, sa voix tremblante
le poids des mots de Claire. Il s'assit e
u m'inquiètes," dit-il, essayant
"Alexandre... Je ne peux plus continuer comme ça. Notre relat
ndre retira sa main, comme si le contact brûlait soudain
veux qu'on se sépare ?" Sa voix était à peine un murmure, comme s
. Je pense qu'il est temps pour nous de suivre des chemins différent
yant de comprendre ce qui venait de se passer. "Mais pourquoi ? Qu'est-ce
ongtemps que je ressens ce vide. J'ai essayé de l'ignorer, de me convaincre que ça passerait,
non versées. "Et nous dans tout ça ? Notre amour ? Not
ant sur sa joue. "Mais je ne peux plus continuer à me m
tre les mains. "Je ne comprends pas... Je pens
"Je sais que c'est dur à comprendre, Alexandre. Mais je crois vraiment que c'est
uelque chose à quoi se raccrocher. Mais tout ce qu'il vit, c'ét
tu comptes faire ?" demanda-t-i
chez ma sœur pour quelques temps. Je vais
e serra encore plus f
voulais te le dire en personne, t
ence s'installa de nouveau, lourd et oppressant, rempli
e geste semblait irréel, comme s'il vivait un cauchemar dont il espérait se réveiller. Clai
ndre. J'espère vraiment qu
e de trouver les mots. "To
t partagée. Alexandre resta là, immobile, regardant la voiture disparaître au coin de l
de vie, était maintenant silencieuse et froide. Il errait de pièce en pièce, incapable de trouver
n, il prit une décision. Il ne pouvait pas continuer à se morfondre. Il devait trouver un moyen d
refois sociable et joyeux, était devenu taciturne et concentré. Il passait des heures interminables au bureau, cherchant refuge dans les tâ
it tard, son collègue et ami,
er la nuit ici, n'est-ce pas ?" deman
de fatigue marquant ses traits. "Je dois finir
je sais que c'est dur en ce moment. Mais te tuer au trava
visage. "Je sais, Julien. Mais travailler
rends. Mais tu dois aussi te rappeler que tu as des ami
Alexandre. "Merci, Julien. C'est juste...
le d'Alexandre. "Prends le temps qu'il te faut. Et si tu
tête, reconnaissant
-être que, lentement, il pourrait commencer à guérir. En attendant, il se concen
redécouvrir des passions oubliées, des activités qu'il avait mises de côté. Il se mit à la course à pied, trouvant dans l'effort physique une é
il croisa une vieille amie, Sophie. Ils s'étaient perdus de vue depu
s'exclama Alexandre, essouff
un sourire éclatant illuminant son visage. "Ç
érité. "Pas trop mal. Claire et moi, on s'es
"Je suis désolée d'entendre ça. Si t
C'est important d'avoir
illesse. "Merci, Sophie. Ça me ferai
is depuis longtemps, Alexandre sentit une lueur d'espoir. Peut-être que, malgré la doul
t de longues conversations. La présence de Sophie devint une bouée de sauvetage pour Alexandre, lui rap
t ensemble, Sophie posa une q
projets, Alexandre ? Qu'est-c
lisant qu'il n'avait pas vraiment pen
continuer à avancer, à me reconstruire. Peut-être que je finirai par trouv
veras. Tu as déjà fait tellement de chemin depuis que Cla
issant. "Merci, Sophie. Ton sout
construisit une nouvelle vie, remplie de nouveaux amis, de nouvelles passions et de nouvelles opportunités. Il réalisa que,
raient doucement par la fenêtre de son salon, Alexandre sour