UNE ORPHELINE DEVENUE MILLIARDAIRE
ol
e de ses parents. À quinze ans, elle n'était pas préparée à affronter un tel cataclysme. Ses parents, aimants et attentionnés, étaient
it Fa
nse, ses cheveux bruns en bataille et son sac à dos plein de livres de l'école. En entrant
rée ! » s'écria-t-elle en p
ains couvertes de farine. « Comme
adame Lefèvre dit que je prog
leva les yeux et lui fit un clin d'œil. « On a touj
out et de rien, riant de blagues familiales et partageant des histoir
s sirènes des pompiers, les hurlements dans la rue. Elle se leva précipitam
propageait rapidement, et malgré les efforts désespérés des pompiers, la situation s
ù êtes-vous ? » cr
le. « Tu ne devrais pas êt
trouve pas... » répondit-
rave sur le visage. « Je suis désolé, jeune
a à genoux, le visage inondé de larmes. Ses parents, ses chers parents, étaient partis. La
phel
placée temporairement chez une voisine jusqu'à ce que les services sociaux trouvent une sol
le. En y arrivant, Clara sentit un poids écrasant sur ses épaules. Elle serra les dents, déterminée
uce mais ferme. « Bienvenue, Clara. Je sais que ce n'est pas facile,
les couloirs froids et austères, jusqu'à sa nouvelle chambre. Une pe
site pas à venir me voir, » ajouta Mme Dupo
la pièce semblait crier l'absence de ses parents. Elle se recroque
ontre a
força à se lever, à s'habiller et à descendre pour le petit-déjeuner. Dans la salle
faim, mais elle savait qu'elle devait manger quelque chose. Elle p
u es nouvel
on âge, aux cheveux roux et aux yeux pétilla
face d'elle sans attendre d'y être invitée. « C'e
iant la tentative de Lisa d
à suivre. Clara écouta distraitement, trouvant du réconfort dans la voix enjouée de
ation D
coin de la bâtisse lui rappelait ce qu'elle avait perdu. Les journées étaient rythmé
inat, elle croisa un groupe de filles plus âgées. L'une d'elles, pré
t-elle en s'approchant. « J'ai entend
ère monter en elle.
s. « Rien. Juste que ça
contenir ses larmes. « Non, ça ne l'
puis fit signe à ses amies de
e l'adaptation serait longue et difficile, mais
ié Ina
sa devint rapidement sa confidente et son soutien. Les deux filles passaie
dans le jardin, Lisa tourna la tête vers Clara. « Tu sais,
sourcils. « Pourq
, tu es toujours là. Tu te bats chaque jour po
première fois depuis longtemps, elle sentit une étincelle de confiance e
Déc
liqua dans les activités de l'orphelinat et retrouva peu à peu le goût de vivre. Mais
de ses parents. Ils lui avaient toujours dit de suivre ses rêves, de ne jamais aband
ive et encourageante. « Si c'est ce que tu veux vrai
in serait encore long et semé d'embûches, mais elle était prête à rele