La meute du lycée
u'elle entrait dans la salle de classe, ses paupières étaient lourdes et les nombreuses voix de ses camarades lui martelaient le crâne. Rabattant la capu
médiat. M. Ginst, outre son âge avancé, avait gardé une carrure imposante et impérieuse. Aussi
pas de lui intimer d'enlever sa capuche et, à contre cœur,
e discrète et avait att
ace auprès d'eux. Que ce soit sa famille ou non. Elle n'avait jamais eut de véritable lien avec quiconque. Peut-être avait-elle un problème, mai
s deux longues heures de biologie et Lila bond
ntes, produits illicites et prostitutions étaient monnaie courante. La plus part des immeubles étaient transformés en squat où étaient en voie de démolition. Pou
e, les lycéens étaient tous bien trop concentré sur leur téléphone pour se rendre compte que quelqu'un leur avait adressé la parole. Q
lle l'allumage, aspira un goulée de fumée et alors qu'elle l'expiration, décida de quitter le lycé
lques pièces tombent à miraculeusement l'intérieur, que des jeunes femmes aux regards vitreux et à la jupe bien trop courte. Elle s'arrêta finalement devant un immeu
ainement le pire mois de l'année dans le nord de Denver. Frottant ses bras l'un contre l'autre comme elle avait froid, Lila embrassa le rez de chaussé du regard. N'y avait rien de bien intéressant dans ce hall, juste des boite
peu à peu en ruine était bel et bien l'endroit préféré de l'adolescente.
. Il était faiblement éclairé grâce à l'entrebâillement de la porte
nait ici lorsqu'elle séchait les cours, mais il fallait avouer qu'à me
moisi et atterrit dans le salon. La pièce d'environ neuf mètres carré était munit d'une g
euses de Lila. Il n'y avait qu'en ce lie