FOUTU DEAL !

h

ns plu

'envahit, mais bien que des éclairs zèbrent le ciel et que le tonnerre gronde au loin, c

fin. Il a des veux d'un marron noisette aux nuances caramé-lisées, des cheveux d'un noir profond en bataille, et des fossettes qui se creusent sur chacune de ses joues lorsqu'il sou-rit. Je ne sais rien sur lui. Seul son prénom résonne incessamment d

s'il dégage un côté sombre et froid, j'ai la sensation qu'il n'est pas méchant pour un sou. Aucune ombre de malveillance ne colore ses prunelles, Avery semble être quelqu'un de bien. Oui, je l'ai deviné dès que nos yeux se sont ren-contrés. Jamais il ne s'est moqué

ttre sur nous. Oh non! Je n'ai pas envie de rentrer m'abriter, mais je n'ai pas

açant, tête baissée vers le sol tout en espérant que les garçons me suivent. Je veux

soucier de ce temps désastreux. Déçue, je rentre dans la bâtisse. Mon Dieu! Je suis trempée de la tête aux pied

ble. J'

me tuer. J'ai désobéi à ma mère qui m'avait pourtant prévenue de ne pas sortir. Elle doit croire que je joue sagement à l'étage dans la sal

ine tant. Mes lèvres s'élargissent immédiatement dans un sourire. Il est dans le même état que moi, trempé comme s'il venait de se ieter tout habiller dans une piscine. Eden me scrute de bas en haut en remuant sa bouche bizarrement, avant de grimper les escaliers qui

en se rapprochant de moi, l'air in

nsmet des frissons le long de mon échine, et je

id, ajoute-t-il en

vie de humer son odeur. Les effluves de son parfum masculin qui me parvi

e-t-il soudainement avant de m'offrir un so

tre avec frénésie dan

si tu restes comme ça. Il t

e simplement d'un mouvement de tête et le laisse m'embarquer avec lui

te-t-il une fois dans la chambre de mo

rêter. Celui-ci se dirige vers son dressing, et en sort un de ses

dans la salle de bains, m'ordonne-t-

ts, je suis la plupart du temps une fille très sage. Loin d'être un monstre comme il aime tant me qualifier... Seulement Eden adore passer son temps

, je suis angélique! rétorqué-

durée. Bien qu'il dégage un côté rebelle sur les bords, il est avant tout quelqu'un de respectueux. Lorsqu'il s'aperçoit qu'il va trop loin, il vient s'excuser et me dit qu'il ne re

essuie vite fait avant d'enfiler le tee-shirt de mon cousin, qui est bien trop grand pour moi. Il m'arrive pratiquement aux gen

n petit nuage, car Avery a pris soin de moi. Mais lorsque j'e

-je lui

crois que je n'a

lle de jeux qui se trouve au fond du couloir. Même si je sais que je vais me faire gronder, je cours vers elle afin d'all

i

e retenir, un cri ai

e relève le visage lentement. Mes yeux plongent dans ceux d'Avery, qui me sourit d'un air bien-veillant. J'ai l'impression de rêver encore une

u ne t'es p

endre que je n'ai rien.T'es sûre? s'

en lui tendant mon

t mal à l'aise. Ressent-il du dégoût? Est-il effrayé ? Je ne sais pas quoi penser et pour être honnête, j'ai peur de m'être trompée sur lui. Oui, j'ai peur qu'il se moque de moi comme certains le font parfois. Mais finalement... Ça ne se passe pas de la façon dont je l'imagi-nais. S'aperc

-t-il en me lâchant. Tu es un

il. Je me sens rougir. A-

es personnes, et tu en es une, me chuchot

ictus à se damner avant de rejoindre Eden dans sa chambre. J'

on handicap ? Ou il a peut-être pitié de moi? En réa-lité, je n'en sais

rande pièce à ma recherche en criant après moi. Lorsque je lui signale que je suis là en lui tapotant le dos, elle se retourne brusquement et m'enveloppe in

arfois...Tu m'as fo

s désolé

contemple de la tête aux pied

Elle va me gronder, mais tant pis

r ce coup-là, je ne pouvais pas m'empêcher d'être toujours ailleurs. Je ne pensais qu'à Avery, à tout ce qu'il m'avait dit. Je n'espérais