Amour et Haine : La Meute Contre les Sorciers
resque admis, une fois, alors qu'il m'avait laissé drogué et impuissant et entouré de morceaux d'herbes nauséabondes et de bougies, qu'il avait fait quelque chose dans mon esp
ent, douloureusement et misérablement au cours de la première année passée alternativement seul dans ma cellule, frappant les murs o
ntré sur moi, plutôt que de me faire d'autres amis, d'autres relations. Je n'avais pas vraiment espionné ma meute pour Hawthorne, parce qu'ils étaient ma famille et que j'avais une putain de morale, mais
tait des conneries. Il était resté en contact avec moi, m'appliqu
on fils rompre avec moi. Je suis sorti de ma voiture et j'ai marché jusqu'au point de rendez-vou
ur de vrai ? J'espérais que ça aurait été angoissant. Mais avec un connard comme ça, on ne pouvait pas compter là-dessu
ait quelques collègues qu
aboratoire avaient ralenti, avec des intervalles beauco
re. En y réfléchissant davantage, j'étais enc
ait ma situati
is maintenant, que je
ls m'avaient jeté ici en espérant que mon compagnon de cellule me tuerait. Je savais qu'ils
mpagnon de cellule à l'égard du partage du peu de nourriture qu'ils
pas pris la peine de reg
dedans, mais je n'avais pas
as encore mourir. Ma physiologie de loup-garou avait été occupée pendant que
e à dents usée de ma cellule. J'ai regardé la brosse à dents tout aussi décrépite posée au fond
mmobile. Seule la moindre lueur sous ses cils me fit savoir qu'il ne dormait pas,
z-y »,
ien sûr, mais se brosser les dents avec de l'eau était mieux que rie
Me permettrait-il de partager sa paillasse, maintenant que j'étais levé ? Apparemment, car lorsque je me suis à
c'était une meilleure question. Non, mais le béton
que la faible lumière à travers les fentes des fenêtres commençait à se fondre dans un néant gris. J'étais conscient de chacune de ses respirations, de sa chaleur, de sa poitrine nu
r de moi, essayant de me
hé sous le bord de la palette de l'a
ais rien entendu non plus dans le couloir depuis mon réveil, réal
dit-il avec
rrêté pendant un
Je pense qu'il t'aime bien, » dit-il, son ton si
vec lequel il m'avait jeté dans une cellule puisse l'utiliser pour me déchirer un peu moins quand il me violait et me tuait... qui avai
de tout ce qui ressemblait à des larmes, qu'elles s'ét
l'utiliser", dit
façon de prendre
açants. « Toujours optimiste, n'est-ce pas ? Je ne
uisse réfléchir. Je pouvais presque les voir suspendus dans les
branlé après m'avoir mordu. Et me voilà, totalement à sa merci et disponible. Il avait bu mon sang et ne semblait pas vraiment préoccupé par
ndant, mon compagnon de cellule ne s'est pas moqué de moi et n'a pas dit : « Vous
nouveau les épaules et dit a
ntére
téresse pa
t être ma mort, il faisait partie de ce pourcentage d'hommes qui apparemment... quoi, sont restés hétér
é au point qu'il était... quoi qu'il soit. Il avait du lubrifiant. Personne ne l'arrêterait. Il avait déjà bandé et avait la volonté de faire quelque chose auparavant, do
s r
ntére
t. Mais cette autre petite partie de moi s'est flétrie et est morte un peu, sous l'insulte, le re
rer la conscience. « Puis-je dor
fiche," g
nt dans une position similaire à c
ant longtemps, mais je me suis endorm