Lalleya: les ailes de la création
plus
e de la princesse aîné
pas approprié dans la bouche d'une "si jeune enfant". Elle m'a donné ce journal pour que je confie tous mes secrets à un ami. Comme je ne
à plaindre. La pitié que je lis dans leur yeux me fait horreur. Je ne veux pas de leur compassion. Je suis leur princesse. Peut être plus leur futur re
is pleinement consciente de ma beauté. Le sang des nymphes astrales, celui de mère, coule dans mes veines. Et me rend irrésistible. Si je ne suis qu'une enfant je ne suis pas aveugle pour autant. J
que père ait fait poster des gardes devant ma porte et assigné Georges, le fidèle majordome de mère, à ma surveillance. Cela ne m'empêche pas de sortir à chaque fois que je sens la pré
ulle dans laquelle j'avais vécu jusqu'alors céd
ien entre père et sa nouvelle femme. Ma bénédiction étant censée leur porter bonheur, je n'étais guère enthousiaste. C
n lesquelles j'aurais été défigurée à la naissance couraient dans tout le royaume. Mais cette fois là je ne portais rien p
n que j'aurais pu en rougir de honte,
on de faire remarquer à père, que se remarier deux jours à peine après la regrettable disparition de sa rei
lée et sécurisée du palais. Egalement la plus éloignée des appartements de sa nouvelle femme et de
qui est arrivé est de sa faute. Après son départ rien n'a plus été pareil. Il n'était plus là pour nous proté
s rien n'est par
and frère pour lequel mon coeur de petite fille a brûlé
âge. A croire que cela s'applique même à mes peines. C
nnemis croient avoir affaire à une enfant. Mais mes all
pas faire. Je ne serais ni écrasée ni dépassée, et parce que je le décide tout me réussir