La malédiction du loup
e dirigeait. À cette vitesse, elle aurait au moins vingt minutes d'avance sur lui. Le temps idéal pour attendre et planifier quoi dire pour ennuyer le célèbre R
qu'elle avait connus et aimés et qui étaient désormais partis. Le père de Ryel, le meilleur ami de son père, était resté en contact au fil des années, et quand Mila avait appris son décès, cela avait été presque aussi douloureux que le décès de ses propres parents. Maintenant que Marc était parti lui aussi, il y avait un trou béant dans le peloton. Il fallait bien que quelqu'un soit alpha. Mila se demandait à quel point la ville serait différente après avoir été abandonnée pendant de
échaînait. Même si elle était partie depuis près de dix ans, nulle part ailleurs elle ne s'était jamais sentie aussi chez elle qu'ici, la petite ville de Silvercoast. Le gros rocher hurlant, un énorme rocher de gra
ye
t autant à son chez-soi, et étant donné l'histoire récente de leur meute, avoir un chez-soi était un régal rare. Cela faisait tellement d'années qu'ils ne pouvaient pas être ici, dans leur ville, toujours à fuir les trolls. Mais maintenant qu'il pouvait retourner dans leur village en toute sécurité, Ryel ressentait une tristesse déchirante. Beaucoup n'ont pas pu rentrer chez eux, y compris son père. Ryel zigzaguait le long du sentier, suivant le panache révéla
e, il savait que son père ne voudrait pas qu'il fuie ses responsabilités et son peuple. Il se sentait coupable et craignait d'être ridiculisé après sa disparition soudaine. Même ses meilleurs amis, Finn et Axel, ne savaient pas qu'il avait l'intention de partir. Il espérait que tout le monde compr
re à la maison sans le vieil alpha, Marc, sans tant d'êtres chers, sans son père ? Comment avait-il pu retourner dans la maison de son enfance alors qu'il s'était enfui dès leur retour, trop effrayé pour affron
une vieille bûche autrefois frappée par la foudre avait un autre vélo devant. Lorsqu'il a vu la Ducati flashy qui l'avait dépassé plus tôt, soigneusement garée à sa place, il a ressenti de l'agacement mélangé à un désir ardent de rencontrer la mystérieu
e nerveux et avait peur de savoir qui allait lui jeter la première pierre verbale. Le silence, à l'exception du crépitement réconfortant du feu, remplissait l'air. C'était comme des heures avant que sa mère, Deanna, ne sorte de l'obscurité, ses cheveux lon
l'âme de ce village depuis votre départ. Ryel prit sa mère dans ses bras, son odeur familière remplissant ses narines. Deanna recula et prit son visage entre ses longs et élégants doigts. Elle sourit puis s'adressa à la foule. « Ré