Âme déchu

. Je n’affectionnais pas du tout cette att

vais pas osé lui demander ce matin-là. Je pensais du coup à ce que me disait Dorine. Il fallait que je la contacte. J’allais tout lui expliquer et elle pourrait me

rompre par l’appel entrant de Michael. J’hé

: allô c

oui

J’ai essayé de te contacter

uis pas connecté

oi bébé ? Tu n’a

je suis à l

rnée se passe bien… prépare toi,

:

bisou bébé,

me aussi. (Fr

mme d’habitude. On aurait dit un esprit tranquille. Il n’avait donc pa

nécessaire d’appeler Rosine au premier choque. J’allais avoir u

soir tata

tone tu es

: ou

vas ? Je suis enc

ama dit même qu’elle t’

qu’elle a le crédit ? Com

Lys n’est pas e

ra là. Tu vas rentrer avec elle et

ser le weekend en

rentrée, nous m

tu as encore

regard demandant

ientôt

ans en quatrième… mince je confirme que je suis

Quand on te demande de mettre

là est avancé mal mal seu

DV

corps avait commencé à se métamorphoser en véritable corps de femme. J’étais conspiré en salle, parfois par les professeurs, et d’autres fois par les ca

recommandé de ne dire mo

. Ça faisait près de deux mois déjà que je n’avais pa

HUGU

nt partis, je me retro

es j’allais voir l

e fis un léger make-

ment voir mes genoux ; des escarpins noirs et une pochet

appela, signalant qu’il

uriante. Quand il me vit, un souri

sublime

chéri (m’approcha

avissante mon amo

la portière

que stone soit déjà v

poses bien… il es

c toute cette soir

u nous amène

ne la question. Où est

si on allait

L : pa

it plus offert un rendez-vous galant à deux. Il était très conten

onne dégust

et meilleure

que ce soir tu as tellement rajeu

s ! Toi et le

ça bébé ? Tu n’a

e dis je le c

e chaque jour amo

une très belle femme. Mais les compliments de Michael, me troublaient un peu. Je n’arrivais pas à croire comment il pou

vrai

: tu d

omme l’impression qu

Ne dis pas ça mon cœur.

rmal. Parce que m’aimer comme un f

EL :

blant et dis-moi ce que t

EL :

une deuxième femme o

quoi tu parles ? Une

utre. Albert t’a déjà appris

ais de quoi

e tu me tournais le do

n chérie. Je ne t’ai jamais tro

echignes ? Comment est-ce q

e ce dîner c’est pour m’excuser de mon indifférence vis-à-vis de to

si on était des ennemis. Je suis ta femme, tu as les

EL :

compoter ? Tu n’imagine pas le mal que j’ai du

mpable de te l’avoir inf

ait pour quel

: le t

seulem

gérer tout ça. C’est pourquoi je me suis retrouvé en train de parler avec Albert. Et l

jugé bon de t’é

ise que j’ai fait

ne plus

: prom

rquoi ne pas lui pardonne

deux mains da

: et toi

moi

rais-tu un jou

pourquoi ? Efface cett

ne peux te tromper. (Faisant u

une douce fi

amusé après ce

où Il avait laissé. (Je ne vous d

les remontées acides ne reviennent. J’appe