La louve solitaire et l'alpha

aient à cause de cela mais grâce à l'adrénaline je continuais sans m'arrêter. Ma louve voulaient prendre ma place mais j'étais trop faible, je ne po

t tué seize ans auparavant. Pour je ne sais qu'elle raison, ils n'avaient jamais ressentis ma présence. J'avais vécu dans cette forêt pendant longtemps et il m

eureusement celui-ci m'avait de suite perçu. Seulement je doutais sur une petite chose. Lorsque j'étais plus jeune il m'était arriv

vais réussis à rejoindre. Cependant, par le biais de la télépathie cet homme avait app

voir que cela portait ses fruits. Je connaissais l'endroit où je me trouvais parfaitement bien et je savais que dans quelques temps, je me retrouverais fa

es airs accompagnée par mes très longs cheveux blanc. Je prenais une grande inspiration, profitant de ce moments de répit où mon corps se sentait plus léger. Autour de moi il n'y avait plus de bruit comm

fort qu'ils tentent sans entraînement. J'avais la gorge qui brûlait et c'était grâce à l'aide de mes mains que je pouvais encore tenir à terre sans m'étaler. Je me r

même vue que j'avais eu avant de m'évanouir était bien là devant moi. Je n'avais pas rêvé, mon avion s'était bien craché et j'étais la seule survivante. C'étai

qui se trouvait en bas était trop dur à observer. J'avais beau dire, une larme s'échappa sans mon consentement c'était

au plus vite, non seulement car je ne supportais plus mais aussi car nous étions en pleine forêt donc à coup sûr sur un terri

l. Heureusement pour moi, le côté ou je me trouvais était celui où il y avait que des débris de l'avion car celui-ci

ar nous les loup-garous n'étions pas des êtres immortels. J'étais sensée mourir moi aussi alors pourquoi je me tenais encore debout ? Et puis, mes pensé

nt que je parte, je ne savais même pas de quel côté je me trouvais mais je savais juste qu'on était bien en

'était grâce à Anathé seulement. En temps normale seul les Alpha, Bêta ainsi que les loups guerriers pouvaient le faire. Ça

is utile pour elle et cela me rassurait. Le vent soufflait et la fraîcheur matinale me fit du bien, étant lou

essentir ce qu'elle voulait me dire. Au fond de moi, je savais que je devais me diriger là. C'était comme si je visualisais le chemin dans ma tête alors que je ne connaissais pas l'endroit. Je

oureux mais avec le temps on si faisait. Je laissais ma louve nous conduire et me reposais un peu. Je n'avais pas envie de c