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Le meilleur ami de mon beau père

Chapitre 6 06

Nombre de mots : 3473    |    Mis à jour : 01/03/2024

es abus qui fonctionnaient très bien. Je prends doucement ma fourchette et poignarde le petit morceau de miellat, j’imagine que le melon sucré est la tête de mon père, ce qui rendait chaque seco

mes yeux se sont décollés de mon assiette et se s

ai dit, mon froncement de sourcils ne

nt. Ma joue pique encore depuis hier soir et je pouvais encore sentir sa main contre ma peau, ce qui me donn

aise, laissant tomber ma fourchette av

m’a appelé mais

ais mon cerveau sait qu’il ne faut rien faire de tout cela parce que mes actions ont de lourdes conséquences. Je marche d

s mains se serrent l’une contre l’autre alors que je mordais

t de donner un coup de pied à la porte. Cela ne m’a pas

ma famille d’être sans abri. Tous ces foutus secrets qui accompagnent le nom de famille Cardoso,

a dit derrière moi, je me suis retourné avec

ndait dangereusement bas autour de sa ligne en V, ses boxers étaient même visibles. Je restai là sidéré, la bouche grande ouverte, il attendit une réponse mais j’étais loin de distinguer les

rreaux, mes yeux le regardaient s’essuyer le fron

aque goutte de so

à ma porte ? »Demanda-t-il avec un s

érable il y a quelques secondes. J’ai fixé ma posture e

itement. Mon visage s’est recroquevillé à cause des mots qui venaient de sortir de ma bouche, pou

z a ri, il se dirige vers l’une des chaises

alle de sport, j’ai passé mes doigts sur le sac de boxe. Un sac de boxe me fait penser, p

uelque chose avant, c

ontre ses lèvres et ses yeux me regardent de haut en bas. Des frissons ont

besoin. »J’ai menti en pas

fense ? »Il secoue la tête en retirant ses gants d

’a pas fait. »

’assurerais que tu saches comment riposter. »Il marmonne,

quelque chose en moi voulait voir à quel point je po

? »J’ai dit avec un soupçon d’innocence

et pour revenir au sujet de la légitime défense. « Une jolie fille comme toi devrait sav

nos mains était bien différente. Les miens étaient petits,

on moment pour apprendre. »J’ai es

ent devant le sac de boxe. Je pouvais le sentir juste derrière moi, son énorme renflement touchait le bas de mon dos révélant à quel poi

gèrement la tête vers la droite juste pour le regarder. Cela me rendait nerveux

oreille, cela a fait palpiter ma chatte et mes jambes ont essayé de mieux se fermer, mais

nte

ur le sac. Mon poing a claqué fort contre le sac de boxe, une poussée d’adrénaline a choqué mon corps. Mes cheveux sont tombés juste au-dess

fort. »

u’avant, ça faisait du bien de relâ

re et encore. La sueur s’accumulait autour de mon front, et je pouvais sen

ut sortir. »Il a chuch

oigts de ma luxure, son souffle chaud contre mon épaule, ma tête roulant en arrière sur son épaule, ma bouche largement écartée juste assez pour

e se tourne légèrement vers la gauche en essayant de voir ses yeux gris une fois de plus. Tu pouvais

tait froid comme de la pierre ne montrant aucune émotion. C’est le frisson de tout cela, je n’ai aucune idée de ce qui se passe dan

la gifle qu’il m’a donnée hier soir mais une plus grande partie d

n nom sort de sa langue a fa

e droit là a arrêté tous les fantasmes sexuels, la réalité m’

t ailleurs que dans le sien. J’ai reculé en glissant les gants de mes mains à la hâte, tout ce qui me pa

es abus qui fonctionnaient très bien. Je prends doucement ma fourchette et poignarde le petit morceau de miellat, j’imagine que le melon sucré est la tête de mon père, ce qui rendait chaque seco

mes yeux se sont décollés de mon assiette et se s

ai dit, mon froncement de sourcils ne

nt. Ma joue pique encore depuis hier soir et je pouvais encore sentir sa main contre ma peau, ce qui me donn

aise, laissant tomber ma fourchette av

m’a appelé mais

ais mon cerveau sait qu’il ne faut rien faire de tout cela parce que mes actions ont de lourdes conséquences. Je marche d

s mains se serrent l’une contre l’autre alors que je mordais

t de donner un coup de pied à la porte. Cela ne m’a pas

ma famille d’être sans abri. Tous ces foutus secrets qui accompagnent le nom de famille Cardoso,

a dit derrière moi, je me suis retourné avec

ndait dangereusement bas autour de sa ligne en V, ses boxers étaient même visibles. Je restai là sidéré, la bouche grande ouverte, il attendit une réponse mais j’étais loin de distinguer les

rreaux, mes yeux le regardaient s’essuyer le fron

aque goutte de so

à ma porte ? »Demanda-t-il avec un s

érable il y a quelques secondes. J’ai fixé ma posture e

itement. Mon visage s’est recroquevillé à cause des mots qui venaient de sortir de ma bouche, pou

z a ri, il se dirige vers l’une des chaises

alle de sport, j’ai passé mes doigts sur le sac de boxe. Un sac de boxe me fait penser, p

uelque chose avant, c

ontre ses lèvres et ses yeux me regardent de haut en bas. Des frissons ont

besoin. »J’ai menti en pas

fense ? »Il secoue la tête en retirant ses gants d

’a pas fait. »

’assurerais que tu saches comment riposter. »Il marmonne,

quelque chose en moi voulait voir à quel point je po

? »J’ai dit avec un soupçon d’innocence

et pour revenir au sujet de la légitime défense. « Une jolie fille comme toi devrait sav

nos mains était bien différente. Les miens étaient petits,

on moment pour apprendre. »J’ai es

ent devant le sac de boxe. Je pouvais le sentir juste derrière moi, son énorme renflement touchait le bas de mon dos révélant à quel poi

gèrement la tête vers la droite juste pour le regarder. Cela me rendait nerveux

oreille, cela a fait palpiter ma chatte et mes jambes ont essayé de mieux se fermer, mais

nte

ur le sac. Mon poing a claqué fort contre le sac de boxe, une poussée d’adrénaline a choqué mon corps. Mes cheveux sont tombés juste au-dess

fort. »

u’avant, ça faisait du bien de relâ

re et encore. La sueur s’accumulait autour de mon front, et je pouvais sen

ut sortir. »Il a chuch

oigts de ma luxure, son souffle chaud contre mon épaule, ma tête roulant en arrière sur son épaule, ma bouche largement écartée juste assez pour

e se tourne légèrement vers la gauche en essayant de voir ses yeux gris une fois de plus. Tu pouvais

tait froid comme de la pierre ne montrant aucune émotion. C’est le frisson de tout cela, je n’ai aucune idée de ce qui se passe dan

la gifle qu’il m’a donnée hier soir mais une plus grande partie d

n nom sort de sa langue a fa

e droit là a arrêté tous les fantasmes sexuels, la réalité m’

t ailleurs que dans le sien. J’ai reculé en glissant les gants de mes mains à la hâte, tout ce qui me pa

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