DESTINEE DOUBLE
la terre qui m'a vue naître ; je me questionnais sans cesse sur mon identité
toujours autant. Je me demandais bien si un jour je pourrai encore y retourner, les retrouver et y vivre. C'était toujours mon souhait. Certes, je senta
un certain martyr, je me sentais p
c'était rare ; je ne les côtoyais pas en tant que tel, encore moins des compatriotes. Raison
le faisait que pour du business me répétait il. J'étais devenue sa petite vraie pute; alors danser avec un autre homme de ma race ne ferait pas de mal. Je savais qu'il n'accepterait jamais que je tombe vraiment amou
registre musical; un bon slow fit place, et nous nous laissâmes emportés, tout en tanguant au son de ces décibels. Aucune de nous deux ne parlait; on se jetait j
t; il m'intriguait et je me demandais bien ce qu'il faisait
emande bien ce que je
... je me pose
nne ? Tu as u
camerou
!!! S'ét
r la piste de danse, comme quoi il venait d
par me donner le ve
. Je suis auss
s ! M'ex
t d'onduler mes hanches dans une de ce
toi qui va me donne
nc originaires
lex, je m'a
Naelle !
elle Po
oi Naelle
quoi tu t'es tu
chai et je me dirigeai brusquement hors de la piste ; je ne sus
! J'ai juste poussé le bouchon u
ose, parle moi d'autre chose, parle moi un peu de mon pa
ans... Mes parents se sont installés ici depu
ge tu as m
En passant Joyeu
moi, ça fait une bonne diza
s me permettre de te faire ce genre de c
; il m'enlaça par la taille et me fit un baiser sur
elle rencontre ? Demanda-t-il sur
'est juste un frère, un compa
devoir la reprendre! Lui répndit Ant
ester là. En me retournant, je vis qu'il avait toujours les yeux rivés sur moi, alors qu'Antonio m'entraînait au loin, tout en maintenant son bras autour de ma taille. Alex leva juste son verre en guise d'au revoir. Je savais que je ne le reverrai plus, et c'était bien une pein
is un rôle bien précis à jouer, celui de séductrice tout court mais parfois celui de négociatrice sur fond de séduction ; tout passait par là et je devais parvenir à les convaincre. C'était la nouvelle méthode du Sicilien, celle de contraindre ceu
tout juste et je suivais les recommandations. Combien de fois je risquai ma vie pour assouvir les caprices, les envies, les fantasmes d'Antonio ; il m'avait formée pour la cause, celle de combler ses propres désirs : il avait
ant donné que la plupart de ces hommes cherchaient toujours de quoi se divertir, et ce, de manière indiscrète ; ils tombaient dans ce piège alors que le Sicilien leur faisait
a végétation luxuriante. J'eus le pas hésitant lorsqu'on me conduisit plutôt dans une sorte de galerie souterraine ; J'étais claustrophobe, et j'eus dès cet instant de violents vertiges
ns à ce moment précis dans la ville de Naples et «Lucky » se voulait très prudent; Il aimait agir en silence. Je priai juste de ne pas y passer en silence non plus. Je maudissais une fois de
t et Lucky ordonna à ses hommes de m'enfermer. Prise de panique, je me mis à sangloter un tout petit peu et à faire défiler ma vie, le temps de quelques secondes. Je repen
.. j'aurai dû mourir
pas celui que je vivais à ce moment-là, il aurait dû être autrement; il aura
mai ma salive; la pièce étant mieux éclairée, je pus le voir de près et apprécier l'homme.
s d'entre eux, tous des hommes assez jeunes et bien mis; mais lui Lucky... c'était pas de chance! Rien qu'à le
e tu as ? Je
ts et trois hommes
alin lui ! Moi je ne marche pas là dedans.... Je vais te prendre tout à l'heure... Il ne m'intimide pas du tout ! C'est moi qui pos
conduire dans une autre pièce toujours souterraine ; je sentais mes nerfs me lâcher et je sentais tout vaciller autour de moi; il faisait chaud et j'étais au bord de l'évanouissement. La pièce d'à côté contenait un lit et une douche, assez propres,
Encore moins au sien! Il ne te retiendra pas
écou
e.
pas quand ni comment prier, ni quel était le moment adéquat, je n'en savais rien. Je n'avais que quelques vagues souvenirs de ma première communion avec ma sœur, de nos petites robes blanches et de ce
il fallait absolument, si il existait bien u
de vivre encore ça...
je m'agenouillai comme je voyais ma mère le fa
aiment, ne crois tu pas que
e tu m'aides... Je ne sais pas comment tu vas me sortir d
t il avait prévu de me prendre me donna un de ces tournis qui me mettait encore plus mal en point. J'avais juste mes larmes pou
elui de quelqu'un d'autre; tout se mêlait entre réalité et imaginaire. Au fur et mesure les voix que j'entendais se firent de p
s sœurs, c'est mieux ... C'est
céle
e fondre dan
t'appartenir
irai bien
urpitudes
sé sur moi étaient plein d'amour vrai, je le sentais, car je savais distinguer l'amour vrai du faux. Mais je ne savais vrai
suis –je ?
allu de peu... Mais le Seigneur ne la pas voulu ! V
e longue de couleur grise, d'un long foular
je... Il faut que j'y aille
s retrouvera, du
ites ! Laissez-moi m'en aller... Je vous
le savons! Mais la maison du Seigneur
? C'est quoi
ent des « Sœurs de
œur ... Je ne sais pas... Si vous m
i tu mets ta foi en Dieu, to
êtes f
s poumons, je me souvins de ces hommes armés et de ceux de Lucky, une petite guerre venait d'être ouverte comme une sorte de combat entre deux gangs, tout se passait devant moi ! J'eus le temps ramper malgré les effets de la bombe lacrymogène derri
ang. Je fis un effort pour garder mon sang froid, tout en manquant de vomir sur place. Je vis la porte, la porte de sortie devant moi, c'était une chance, je me voyais libre ! Je me mis à ramper, puis à courir de toutes mes forces lorsque je sentis cette décharge, suivie d'une douleur q
? Hein ? Tu ne t'en ti
vait les yeux ouverts, on aurait dit qu'il me regardait. Je n'arrêtais pas de crier et de tenter de ramper encore malgré mes blessures; je pensai immédiatement aux ho
résent ! Ils ... ils m'o
ur sont impénétrable
j'eus du mal à le ré
dis merci ! Mais vraiment, je dois m'en a
ous y aller ? Vous ne
t ce q
s que vous êtes inconsciente! En fait on vous a plongée dans une sorte de coma artificie
ui l'a
urai vous
s je dois m
ntais pas bien, j'avais cette énorme douleur à la colon
as que je ne p
plus .... Vous ne pou
gneu