À la poursuite de Luna
ue crier derrière moi. Je me lance dans un sprint
acines épaisses qui recouvrent le sol de la forêt, en faisant attention de ne rien trébucher. A chaque pas que je fais, j'e
un homme aux cheveux blonds s'approcher de mon visage. J'attrape son poignet et le tire fort vers moi. Utilisa
je murmure alors qu'i
ui, et je prends cela comme un si
ne vous ferons pas de mal », il lorgne,« je le promets. Il se précipite sur moi à deux mains et je fais un pas rapide sur ma droite. Dans sa
de la tête, l'assommant. J'enlève mon masque facial en courant et le jette dans la direction opposée à celle où je vais. Allez sui
re deux grands buissons, prends une
toi de bien cacher ton odeur", je me
argile sur le visage. "Ceci
moi de huit ans. C'était l'un de ses derniers rappels a
ne en ramassant plus de terre et de feui
'un aboyer et je m'accroupis automatiquement pour me cacher. Une femme et un autre homme passent deva
que chose pour me défendre. Il n'y a que des feuilles, de minuscules rochers et de pe
nutes de course,
, mais il est beaucoup plus fort que moi. "Es-tu perdu? Ce n'est pas un endroit pour la royauté comme vous, vous savez ? » Il rapproche son visage du mien, inspirant profondément. "Tu sens bon. Très... pure », souligne-t-il le dernier mot. "Juste mon genre
oing dans le ventre. "Euh." Je ricane et lui donne un coup de pied dans l'e
dainement ? Je secoue la tête en m'enfonçant dans les bois. Je serai
je continu
e moque-t-il, avec un petit rire. "Alors pourquoi n'abandonnez-vous pas, venez ici et parlo
nt quelques vignes suspendues. Je peux prendre un bon départ et les inciter à penser que je vais sauter. Le risque réside dans le fait que la vigne que j'attrape soit suffisamment solide pour supporter mon poids. Je jure dans ma barbe. Mais est-ce un risque que je su
s'exprime derrière moi. "Abandonner ou mourir !" Je r
e regarde derrière et vois trois hommes fermer ma place. Celui qui
ils sont à un bras de moi. Courant aussi vite que mes jambes le peuvent, j'a
de la falaise. Ils finissent par tomber du bord, incapables d'arrêter leur vitesse à temps. J'utilise mon propre élan p
x pas croire que ce
blesser mortellement. Mais assez pour gagner du temps et me laisser m'évader. J'écoute attentivemen
puisse voir le bâtiment familier du café. J'attrape mes clés dans la poche
llement contre ma poitrine alors que je lutte pour reprendre mon souffle, mais je ne me laisse pas r
ain serre ma gorge. Je peux sentir un objet frais et po
non identifiée. "Tu m'a