LE COMPAGNON FORCÉ DE L'ALPHA
s de compagnon à mon fils ? Et s
mes cheveux. Déjà gras. J
pis de style gothique s'étendant partout où le regard pouvait voir. Des rampes dorées m'ont projeté au troisième étage où des tables antiques
nt père accroché au-dessus du manteau. Une porte menait à la chambre. De là, une série de portes s'ouvraient sur une vérand
e de
bain en marbre qui m'
ouche. L'eau jaillit de la pomme de douche. En quelques secondes, j'étais nu et me tenais sous le ruisseau chaud, gémissant assez fort pour r
, je voulais être un bon leader. Je voulais que
emies. Mais ce procès pour compa
asser mon cuir chevelu. Fini les soirées tardives au ba
de
i restait de mon héritage. Parce que, selon ma mère, c'était à cel
ontre le mur de marbre. Ça
t je suis resté immobile sous la douche. mes or
t juste mon
aman m'a mis toutes ces idées en têt
loppé dans une serviette, je
nes se d
ne sentait rien de ce q
bre près de la porte de la véranda. L'attaquant silencieux leva un poignard, la lame scint
o
grognai entre me
uelques centimètres de mon visage. J'ai eu du mal à retirer l'arme de moi alors
e rendre
ignard dans le tiroir du haut et je l'ai brandi pendant que mon agresseur reprenait pied. Il s'est j
e mes cheveux. Des mèches mouillées me tombaient au v
J'ai beuglé.
rs ne m'a
it-il ? Il était ju
et collant. Tout ce dont j'avais besoin c'était d'un seul coup de poignard. Un coup de co
j'appliquais une pression. Sans hésitation, j'ai plongé le poignard dans son flanc. Ce fut la seu
issant une trace de sang sur le sol. Avant que je puisse faire quoi que ce soit, il ouvrit les p
hair se recollant beaucoup plus lentement que d'habitude. Le poison s'est g
avait
être accouplé le